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Pas de nouvelles de la GRC sur les 491 enfants nés vivants, décédés en raison des blessures causées par leur avortement

La GRC devrait prendre exemple sur la police italienne.

Sur le site de Le Ciel est bleu du 15 juillet 2013:

 

 

Le père Antonio Martello a découvert l'enfant attaché à son cordon ombilical, 20 heures après la procédure. Le bébé bougeait et avait encore son cordon ombilical.
 
Il a alerté les médecins, qui l'ont amené à l'unité néonatale, mais il est décédé.
 
Un responsable du département de la santé dit qu'il y aura un enquête.
 
En Italie, tout enfant naissant vivant a le droit aux services de santé.
 
On connaît cette histoire parce qu'un prêtre a découvert le bébé.
 
La question se pose: combien de bébés sont laissés pour compte après un avortement?
 
Au Canada, on a appris que 491 bébés sont nés vivants après un avortement entre les années 2000 et 2009.

On trouve les détails sur le site telegraph.co.uk du 28 avril 2010 (via le ciel est bleu) :

La police italienne enquête sur cette affaire pour « homicide » parce que l'infanticide est illégal en Italie.

La loi signifie que les médecins ont l'obligation d'essayer de préserver la vie de l'enfant une fois qu'il a survécu à l'avortement.

Le gouvernement italien envisage également une enquête sur la conduite du personnel de l'hôpital.

Eugenia Roccella, sous-secrétaire d'État au ministère de la Santé, mercredi soir, a promis une enquête gouvernementale sur l'incident.

« Le ministre de la Santé va envoyer des inspecteurs à l'hôpital de Rossano Calabro pour enquêter sur ce qui s'est réellement passé,(…

Elle a dit que si l'information initiale est correcte, “ce serait un cas d'abandon volontaire d'un nouveau-né gravement prématuré, peut-être aussi une certaine forme de handicap, un acte contraire à tout sentiment de compassion humaine, mais aussi de toute pratique médicale professionnelle reconnue ».

Elle a ajouté : ‘Nous devons nous rappeler que le bébé, une fois né, est un ressortissant italien égal à tous les autres, et a droit à tous les droits fondamentaux, notamment le droit à la santé et donc nous devons lui donner un plein soutien.’

L'affaire a relancé la controverse sur la légalité de l'avortement dans le pays catholique.

(…)L'affaire est à l'origine d’un tollé en Italie, car elle est la deuxième concernant un fœtus de cet âge qui survit à la procédure, en trois ans seulement.

L'autre concernait un bébé à Florence qui pesait 17 onces, quand il a été avorté à 22 semaines en raison d'une maladie génétique suspectée, mais il a vécu pendant trois jours.

Depuis 1978, l'avortement est disponible sur demande en Italie au cours des trois premiers mois de grossesse, mais est limité à des circonstances particulières — telles que le handicap dans le deuxième trimestre. Le gouvernement envisage un examen du fonctionnement des lois.

(…)

Le nombre croissant de bébés qui survivent au-dessous de 24 semaines, en partie grâce aux progrès de la médecine, a conduit à de nombreux appels pour que la limite supérieure juridique soit encore réduite.

 (…)

Le journaliste Normand Lester avait écrit un article sur ces 491 enfants oubliés...

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