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Planned Parenthood : « Nous vendons des morceaux « frais » de bébés : tissus tirés des yeux, de l'épine dorsale, et gonades »

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Par Susan Michelle de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Le 15 septembre 2015 -- La dixième vidéo d'infiltration faite par le Centre pour le progrès médical (Center for Medical Progress) nous montre des discussions privées dans lesquelles les travailleurs de Planned Parenthood négocient en direct la vente d'organes de fœtus, tout en cherchant à éviter d'être accusés directement de telles pratiques.

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Leur entretien « d'affaires » nous rappelle qu'il n'y a aucune humanité dans ce qu'ils font : seul l'argent importe. Ces « affaires » consistent à monnayer de morceaux de corps humain, sans égard pour le bébé lui-même. La vidéo fait apparaître que le seul intérêt de Planned Parenthood est mercantile. Il se focalise sur les « morceaux » du corps du fœtus qu'il peut fournir et vendre aux laboratoires. Et plus c'est « frais », mieux c'est.

La vidéo nous présente plus en profondeur le cadre exécutif de l’organisation pour mieux en dénoncer les dérives ultra-libérales. La vidéo est réalisée par le Comité pour le Progrès Médical qui met en ligne une série de documentaires sur le Web intitulé : « Capital Humain ».

La vidéo souligne en particulier la teneur des propos du Dr. Carolyn Westhoff, Conseillère médicale pour le planning familial. Mais aussi ceux du Dr Vanessa Cullins, Vice-Présidente aux affaires médicales publiques. Ainsi que les déclarations de Deborah Van Derhei, Directrice nationale du Consortium des fournisseurs d’avortements.

Dans cette vidéo, le Dr. Westhoff, en particulier, discute du commerce des bébés avec un acheteur potentiel.

On peut l'entendre dire :

« Nous avons travaillé avec des gens qui veulent des tissus spécifiques, comme, vous savez, le cœur, les yeux, ou des tissus neuronaux. Les gens veulent aussi des tissus tirés de l'épine dorsale, vous voyez, ce genre de chose. Oui nous fournissons tout, même des gonades. Oh mon Dieu, bien sûr, des gonades ! Tout ce que nous proposons est frais. »

Ce que donnent à comprendre implicitement ces vidéos, pour le moins troublantes, c'est que le commerce autour des organes frais des fœtus est une pratique courante. On voit des cadres de Planned Parenthood discuter de ces fœtus nés vivants, et avortés, emportés dans de la glace à destination des laboratoires par des cliniques avides. Les tissus frais de ces bébés sont vendus à des négociants richissimes qui mettent à disposition des scientifiques ce matériau humain pour les aider à tenir l'agenda de la recherche médicale encouragée par les subsides fédéraux.

Le mot « horreur » n'est pas assez fort pour décrire ce qui se joue au quotidien dans les couloirs du planning familial. Les conversations les plus secrètes nous dévoilent qu'il n'y a pas un commencement de remord chez ces professionnels de l'avortement et de son commerce. Que des bébés doivent mourir, pour que leur travail à eux se fasse, ne les émeut pas. On pourrait imaginer un film d'horreur qui mettrait en scène un trafic d'organes, aboutissant à disséquer des femmes, tout en le légitimant, sous prétexte que cela servirait le bien de la science. Et on aboutirait finalement à vendre des tissus humains à titre d'expérimentations médicales. Le problème est que tout ceci n'est pas une fiction. C'est ce qui se passe actuellement aux Etats-Unis d'Amérique.

Cette histoire d'horreur existe parce que des « pauvres femmes » - pour lesquelles Planned Parenthood a tant de compassion - n'ont pas les moyens d'être assistées médicalement. Elles viennent donc chez Planned Parenthood pour « être aidées ». Une fois l'avortement passé, ces femmes essayent tant bien que mal de joindre les deux bouts. Pendant ce temps, les gonades de leur enfant avorté sont entre les mains de scientifiques, dans des laboratoires universitaires, qui travaillent pour des salaires à dix chiffres, subventionnés qu'ils sont par le gouvernement fédéral.

Le commerce des fœtus est vivant aux Etats-Unis. Il se porte bien dans de nombreux centres abortifs de la Nation. C'est ce scandale que révèle cette vidéo : pour que cette entreprise commerciale du planning familial soit vivante, il faut que les bébés meurent.

Cette dixième vidéo d'infiltration est un reportage dérangeant. Il fait partie d'une série de documentaires sur ce que le Comité pour le Progrès Médical appelle le « Capital Humain ». Les produits commercialisés sont des tissus de bébé. Les prix sont évalués en fonction des organes prélevés. Cette entreprise commerciale est comme un monstre qui étend ses tentacules dans tout l'océan. De temps en temps, si vous y prêtez attention, vous en apercevez en surface les remous de sang.



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