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Message de l'OCVF pour la Marche pour la Vie du 8 mai 2014 à Ottawa

Sur le site de l'Organisme Catholique pour la Vie et la Famille :

(photo : fedfil sur flickr.com, licence creative commons)

À l’occasion de la Marche nationale pour la vie, l’Organisme catholique pour la vie et la famille (OCVF) nous invite à réfléchir au fait que, depuis des décennies, les promoteurs du « droit » à l’avortement ont réussi à convaincre les Canadiens et Canadiennes que l’avortement est une bonne chose pour les femmes. Quel odieux mensonge!

On dit qu’à force de répéter souvent un mensonge, haut et fort, on finit par le croire. Tragiquement, tant de Canadiens ont cru le mensonge de l’avortement que le quart des enfants conçus chaque année sont volontairement éliminés avant leur naissance (dont un nombre disproportionné de filles). Il s’agit des premières victimes de l’avortement parmi les femmes. Les secondes victimes sont les femmes qui subissent cette procédure; beaucoup d’entre elles souffriront en silence de séquelles physiques, psychologiques et spirituelles jusqu’à la fin de leurs jours. Toute référence à leur souffrance demeure aujourd’hui taboue.

Loin de promouvoir le bien-être des femmes, l’avortement constitue plutôt une menace à leur bien-être et à celui de la société. Il est donc normal de se demander pourquoi tant de citoyens et citoyennes continuent de croire le mensonge de l’avortement, et comment ils parviennent à ignorer le fait vérifiable que l’avortement blesse les femmes.

Qui en profite?

Il suffit de se demander QUI profite de l’avortement pour trouver un début de réponse à cette question. En décembre 2013, le Journal de l’Association médicale canadienne annonçait qu’une compagnie pharmaceutique avait demandé un permis pour introduire au Canada la pilule abortive RU-486, aussi connue sous le nom de mifépristone. Il s’agit de la même drogue synthétique qui a été bannie par notre pays en 2001 après qu’une femme soit décédée d’un choc septique durant les tests pharmaceutiques. Aux États-Unis, selon la U.S. Food and Drug Administration, pas moins de 14 femmes sont mortes en 2011 après avoir consommé la pilule RU-486; et le même rapport fait état de 2207 effets secondaires pouvant découler de l’utilisation de la RU-486.

Le fait que nous soyons à nouveau confrontés à la possibilité de l’introduction de cette pilule abortive sur le marché pharmaceutique canadien illustre bien que certains groupes ont des avantages financiers à voir perpétuer le mensonge de l’avortement.

Quand donc nous déciderons-nous à dire : « Assez, c’est assez ! »? Combien de femmes doivent encore mourir, être mutilées ou subir des séquelles psychologiques durables – combien d’enfants à naître doivent encore mourir – avant que nous réduisions au silence le mensonge de l’avortement ? Pour y parvenir, unissons nos voix et nos gestes pour proclamer la dignité inhérente de chaque être humain du moment de sa conception à sa mort naturelle. Êtes-vous pour la vie?

Le 8 mai, joignez-vous à la Marche nationale pour la vie à Ottawa ou à l’une des marches provinciales qui auront lieu le même jour.

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