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Lise Payette et la réécriture de l'histoire

L’ancienne ministre Payette nous donne ce matin, dans le journal Le Devoir du 9 mars 2012, un autre de ses textes qui ferait rire s’il n’était lu par beaucoup comme sérieux. Encore une fois, elle nous ressert le plat de nos pauvres ancêtres esclaves de leurs hommes. Il serait bien un jour d’écrire une histoire des hommes avec les mêmes procédés, les mêmes procès d’intentions si malhonnêtes utilisés par ces féministes pour reprendre de réels cas d’injustices mais généraliser dans le cœur des gens de l’époque, une volonté de rabaissement de la femme.
 
Je demande d’abord pardon à celles qui seront normalement enragées par le texte qui suit. Il est volontairement malhonnête, biaisé et ne reflète absolument pas la pensée de l’auteur. Par contre, il est le pendant masculin de textes aussi bêtes, stupides que ceux produits par des féministes bornées. Attachez vos tuques…
 
L’histoire pourrait commencer ainsi.
 
Il y avait une époque au Québec où les hommes étaient les esclaves soumis des femmes. Envoyés aux champs toute la journée, sous un soleil de plomb, on leur envoyait leur nourriture là-bas pour qu’ils n’aient pas le loisir de se reposer quelques minutes à la maison. Pendant que la femme, tranquille, s’amusait à gérer les lieux et les enfants, l’homme péniblement tentait d’extirper de la terre de quoi faire vivre sa famille. N’oublions pas que pendant près de 300 ans, la majorité de la population était rurale.
 
Les garçons n’étaient pas épargnés. Pendant que leurs sœurs jouaient à la poupée, ils devaient très tôt mettre la main à la charrue. Dans la vie de tous les jours, ils devaient pratiquer la galanterie, ouvrir la porte aux femmes, les faire toujours passer en premier, leur attribuer un titre particulier selon leur rang dans la société : Madame pour celles qui avaient un homme sous leurs ordres, Mademoiselle pour celle qui était en train de s’en choisir un.
 
Bien sûr, elles tenaient les cordons de la bourse, l’homme étant obligé de lui donner l’argent durement gagné et ne pouvant se payer quelques gâteries que son travail lui aurait méritées. On se souvient du matriarcat et des « Germaines » qui utilisaient leur autorité ou le chantage affectif quand la souffrance de leur homme pouvait les inciter à la rébellion.
 
Cette époque du matriarcat où la femme dirigeait l'homme même s’il elle n’avait pas travaillé pour avoir des diplômes se poursuit encore aujourd’hui où dans tout procès l’homme doit prouver son innocence d’abord, s’il affronte une femme. De plus, des quotas sont instaurés un peu partout qui permettent à celles n’ayant pas les mêmes compétences d’occuper des postes qu’elles n’auraient pas eus sans ces quotas.  Enfin, les hommes doivent assurément se tenir pour coupables de toute structure apparemment injuste du passé, des guerres qui ne sont que le fait des hommes (voir si un homme peut avoir fait une guerre pour une femme ou poussé par sa femme à avoir de plus grandes possessions!)  jugés de façon anachronique sans tenir compte du contexte historique et sociétal de la vie de nos ancêtres.
 
Pourrait-on lire de telles inepties dans les grands journaux? Seulement s’il est écrit inversement pour décrire la véritable "tyrannie" qu’exerçaient nos grands-pères et nos ancêtres sur leurs femmes. Vraiment, le féminisme québécois et l’honnêteté intellectuelle ne vont pas de pair… Et cela s'enseigne dans nos universités québécoises, en compagnie de la théorie du genre pour combattre les inégalités!
 
Voici un extrait de l'article de Mme Payette:
 
Les hommes qui partageaient nos vies étaient installés confortablement dans leurs célèbres privilèges, comme des générations d'autres hommes avant eux, et ils n'avaient pas vraiment l'intention de se laisser déloger du sommet de la montagne pour permettre aux femmes, ces pauvres petites choses, de jouir de la vue spectaculaire qu'on pouvait avoir de là-haut. «Tu en as de la chance d'être en bas ma chérie. Je me tue au travail pour te donner tout ce dont tu as besoin, tu devrais te contenter de m'être reconnaissante.» C'était le discours à la mode.
 
Les femmes ont tenu leur bout. Tout doucement, elles ont grignoté la montagne. Elles se sont d'abord assuré que leurs filles seraient instruites, car elles avaient bien constaté que l'accès à la montagne était à ce prix. Finie l'époque des études réservées aux garçons seulement. Les filles privées d'études pendant longtemps ont pris d'assaut les classes qui ouvraient enfin leurs portes. À nous les diplômes. Enfin.

Pendant ce temps, les mères ont continué le combat sur le terrain. Elles ont pris leurs distances d'avec la religion catholique qui les avait condamnées «à perpétuité» dans leur rôle de pourvoyeuses d'enfants. Elles ont tendu l'oreille à ce que la science leur proposait en matière de régulation des naissances et l'arrivée de «la pilule» sur le marché leur a permis d'envisager leur vie autrement. Elles ont récupéré leur propre corps, ce qui n'était pas une mince affaire.

La politique leur a rendu un peu de leur dignité en leur reconnaissant des droits fondamentaux qui les sortaient enfin de leur classement parmi les fous et les incapables.
 

Tout comme le communisme visait à réparer des situations d'injustice en exacerbant la haine d'une "classe" et en apportant des solutions complètement délirantes, le féminisme est actuellement la nouvelle idéologie meurtrière, faisant la promotion de l'avortement, de la destruction de l'identité sexuelle par la théorie du genre, de la destruction de la famille comme structure inégalitaire en elle-même. Elle est une des idéologies les plus folles et les plus dangereuses que l'humanité ait eu à combattre car elle s'attaque à l'essence même de la personne et de la famille. Oui, les droits de toute personne humaine doivent être revendiqués, -- y compris ceux de la femme --, mais on n'a pas besoin des dérives de l'idéologie féministe pour le faire...

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