Sur le site de Médiapresse-info du 20 juin 2014 :
(Photo : L'hôpital John Hopkins)
(Photo : Jhm1234 sur wikimedia.org, licence creative commons)
(...)le Dr Paul McHugh, ancien psychiatre en chef de l’Hôpital John Hopkins dans le Maryland, a fait une déclaration importante dans le Wall Street Journal du 12 juin 2014. Pour lui « le sentiment d’être transgenre » n’est pas un trouble d’identité du genre mais ce qu’il nomme un « trouble de la prise en charge ». Il y a pour lui à la base « un trouble mental méritant compréhension, traitement, prévention… et une parentalité dévouée ». Orienter un enfant vers le transgenre a des conséquences dramatiques notamment psychologiques. Il part d’une étude suédoise de 2011 diligentée entre 1973 et 2003, concernant 324 personnes ayant subi des opérations de « réassignement sexuel ». La conclusion est sans appel : « les personnes transsexuelles, après un changement de sexe, ont des risques beaucoup plus élevés de mortalité, de comportement suicidaire et de morbidité psychiatrique que la population en général. » L’étude conclut qu’en aucun cas ces interventions chirurgicales ne suppriment les troubles dits de « dysphorie du genre » et créent d’autres troubles psychiatriques supplémentaires nécessitant une prise en charge. (...)
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