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Les parents qui avaient subi la pression pour avorter montrent leur fille, belle et en bonne santé

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Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Les parents d’Olivia-Jax, une enfant de 7 mois, parlent de sa vie sur Facebook. Encore dans le sein maternel, Olivia-Jax fut diagnostiquée d’une série de problèmes de santé. Ses parents racontent avoir subi à plusieurs reprises des pressions en vue d’avorter. Et pourtant, aujourd’hui la souriante petite fille jouit d’une parfaite santé. 

Voici le message : 

Salut, je m’appelle Jax. Les médecins ont cherché par trois fois à pousser mes parents vers l’avortement. Ils ont dit que mes intestins étaient hors de mon corps – mes parents leur ont dit non. Ils ont dit que mes jambes et mes pieds avaient des malformations et ne valaient pas le risque que voulait prendre ma mère – mes parents leur ont dit non. Ils ont alors dit que je souffrais de trisomie 18 et que je ne survivrais pas hors du sein maternel – et mes parents leur ont dit non. Mon père a dit qu’il ne leur faisait pas confiance, que leurs arguments étaient lamentables, car j’étais en bonne santé disait-il. Ma mère était d’accord avec lui et maintint sa grossesse contre l’avis et les conseils d’éminents médecins spécialistes des “grossesses à haut risque.” Je suis née un mois avant la date prévue d’accouchement – je suis à 95+ % en tout – mes mains et mes pieds sont magnifiques – mon abdomen est normal – je n’ai pas un 18e chromosome supplémentaire. J’ai presque 7 mois aujourd’hui parce que je suis venue au monde un mois plutôt et je vais bien. Je m’appelle Olivia-Jax et non fœtus ou cellule humaine. Je suis une petite fille et mes parents ont refusé de m’abandonner; je vais bien.

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Les parents continuent à raconter leurs propres expériences d’avoir été poussés à avorter; cela est fréquemment causé par des handicaps présumés. Souvent, lorsque ces parents choisissent la vie, leurs enfants naissent en bonne santé ou largement moins handicapés que les prévisions du médecin. La science a récemment découvert la capacité des bébés à autoréguler les anomalies dans le sein maternel, et pourtant peu de parents en sont informés. 

Généralement les parents ne sont pas non plus informés de ce qui se passe en réalité lors d’une procédure d’avortement. Plusieurs fois, les avortements réalisés à cause des présumés diagnostics sont basés sur la dilatation et l’évacuation. Un ancien avorteur, Anthony Levatino, explique à travers les graphiques médicaux dans la vidéo ci-dessous ce qui se passe lors de l’avortement par dilatation et évacuation. Vous pouvez également voir ce qui se passe lors d’un avortement par déclenchement ici :

La mère de Titus avait été informée que son fils serait pratiquement un légume s’il venait au monde; son médecin lui a proposé d’avorter à huit mois. Elle refusa l’avortement et Titus pratique du sport et va à l’école. Il fait les délices de beaucoup malgré la maladie du Spina Bifida. Malgré les faux pronostics du médecin, Titus fait des merveilles dans sa vie, déclare sa mère : 

À chaque phase de sa vie, soit il est en avance  soit il est au point. Il est très intelligent et talentueux. Il ne se plaint pas et ne s’agace pas au sujet de ses pieds handicapés ou de quoi que ce soit. Il aime faire ce que font les petits garçons. Il sait lire, compter et il connait les figures et ce, depuis qu’il a 2 ans et demi. Nous en sommes heureux. 

On avait conseillé à Gemma Rogers d’avorter son fils et ce dernier vint au monde en parfaite santé : 

Après le scanner de la 24e semaine de grossesse, les médecins informèrent la future maman de 24 ans que son enfant naitrait probablement paralysé, incontinent et sans qualité de vie. 

Elle fut poussée à interrompre la grossesse, mais voulant à tout prix devenir mère, elle s’y opposa et elle pense que c’est la meilleure décision qu’elle ait prise dans sa vie. 

Mais Ciaran, aujourd’hui âgé de trois ans, est né sans problème de santé et  grandit comme tout autre enfant.

D’autres parents ayant opté pour la vie face à un diagnostic angoissant racontent comment leur choix était tout à fait raisonnable, même si leurs enfants décèdent peu de temps après ou vivent handicapés. 

Alors que les médecins peuvent se tromper et les diagnostics sans fondement, le choix de donner la vie à un enfant avec amour est toujours beau – malgré la pression, le harcèlement et les informations alarmantes.



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