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Le personnel hospitalier serait hostile, avec raison, aux avorteurs qui pratiquent des avortements tardifs

Quelques informations tirées du Journal de Montréal du 11 novembre 2013 :

(L'hôpital Ste-Justine où sont pratiqués des avortements tardifs)

(Photo : Jeangagnon sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

Les cas les plus fréquents de femmes qui veulent un avortement après 23 semaines

Adolescentes victimes d’inceste

Toxicomanes

Femmes qui croyaient être en ménopause

Adolescentes qui nient ce qui leur arrive

Femmes qui apprennent que leur mari a une double vie

 

Le service d’avortement au Québec Toutes les régions offrent des avortements jusqu’à 14 semaines de grossesse.

Entre la 15e et la 20e semaine, trois corridors de service sont disponibles: Montréal, Québec, Sherbrooke.

Après 20 semaines, la coordination provinciale se fait au CSSS Jeanne-Mance, à Montréal. Les avortements sont pratiqués au CSSS Jeanne-Mance.

Après 24 semaines, les femmes sont envoyées dans des cliniques américaines. (Note de CQV, cette information est en partie vrai. De nombreux avortements après la 24e semaine de grossesse sont faits dans les hôpitaux québécois.)

Trois gynécologues québécois spécialement formés pour pratiquer des avortements après 23 semaines refusent souvent de faire leur travail, craignant une réaction hostile des employés dans les hôpitaux. Résultat: des dizaines de patientes doivent aller aux États-Unis.

(...)

Pas de raison médicale

Depuis 25 ans au Canada, les femmes ont droit à l’avortement jusqu’à la toute fin de leur grossesse.

Chaque année, au Québec, entre 200 et 250 patientes subissent une IVG de troisième trimestre, soit après 23 semaines (moins de 1% des IVG*). La procédure a lieu dans un hôpital puisque la femme doit littéralement «accoucher».

(...)

Le guide du Collège des médecins prévoit qu’un médecin n’est pas obligé de faire un avortement si cela va contre ses valeurs. Il doit toutefois adresser la patiente à un collègue.

Médecins formés aux États-Unis

En 2004, le ministre de la Santé Philippe Couillard avait annoncé qu’au moins un médecin serait spécialement formé pour répondre aux besoins d’IVG tardives au Québec. Au total, trois gynécologues ont suivi cette surspécialité en planning familial aux États-Unis.

Or, l’hostilité de certains employés d’hôpital à l’égard de ces trois spécialistes les empêche de pratiquer ces avortements controversés.

(...)

Selon le Dr Guimond, qui connaît bien deux des trois spécialistes, le simple fait de parler des IVG tardives dans les hôpitaux pourrait remettre la pratique en question.

«C’est toujours un risque de perdre des acquis. C’est tellement controversé que l’administration pourrait dire “on n’en fait plus”», croit-il.

L’Association des obstétriciens et gynécologues du Québec a refusé de mettre le Journal en contact avec les trois spécialistes pour comprendre le con­texte de ces IVG.

«Ce n’est pas de la publicité, ce n’est pas des affaires que les gens ont besoin de savoir. Nos médecins ne veulent pas que les gens sachent qu’ils font ça», a répondu la présidente Isabelle Girard.

(...)

si la femme a un casier judiciaire ou qu’il y a un risque de césarienne, elle ne peut aller aux États-Unis. Dans ces quelques cas, les IVG sont pratiquées au Québec.

(...) 

Rappelons que l'on sauve maintenant des enfants prématurés à la 21e semaine de la grossesse.

Le Journal mentionne également que l'hôpital Ste-Justine, le Centre hospitalier de l'Université de Montréal, l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont, le Centre universitaire de santé McGill, le Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke ont refusé d'accorder une entrevue sur le sujet.

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