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Le mensonge qui tue : excellente réflexion par Jean-Marie Le Méné, président de la fondation Jérôme Lejeune


le_mene.JPGSur le site de Valeurs Actuelles du 25 novembre 2014 :

(Photo : CasimirParis5 sur wikimédia.org, licence creative commons)

(...)La démocratie est aussi rongée de l’intérieur par le mécanisme des « illégalités fécondes ». Le juge amorce le mouvement en ne punissant plus certaines infractions et une spirale libertaire s’enclenche. A l’image de l’avortement, l’interdit devient une tolérance, puis une exception légalisée, puis un droit commun, puis un droit fondamental, puis une obligation. Rappelons l’oukase du CSA enjoignant aux chaînes TV de ne pas passer une vidéo donnant la parole à des jeunes trisomiques pour ne pas culpabiliser les femmes ayant avorté. Le droit à l’avortement est supérieur à la liberté d’expression de ses rescapés ! Citons aussi ce qui s’est passé pour la recherche scientifique qui utilise et détruit des embryons humains. En quelques années, ce qui était considéré comme une horreur est devenue un droit pour les chercheurs. L’exception devient la règle. Il devient impossible de défendre les embryons humains qui sont moins bien protégés que les animaux ou que certaines espèces végétales. Et le dire conduit à être censuré par un gouvernement des juges. (...)

Devant la réalité de l'avortement, il doit plutôt devenir impossible de se taire... C'est une obligation morale pour toute personne éprise de justice. Rappelons que la charte des droits et libertés de la personne du Québec, qui ne veut pas tenir compte de la réalité scientifique concernant l'enfant à naître, est par contre claire sur les principes de bases d'une société. Ses deux premiers articles mentionnent : 

1. Tout être humain a droit à la vie, ainsi qu'à la sûreté, à l'intégrité et à la liberté de sa personne.

Il possède également la personnalité juridique.

1975, c. 6, a. 1; 1982, c. 61, a. 1.

2. Tout être humain dont la vie est en péril a droit au secours.

Toute personne doit porter secours à celui dont la vie est en péril, personnellement ou en obtenant du secours, en lui apportant l'aide physique nécessaire et immédiate, à moins d'un risque pour elle ou pour les tiers ou d'un autre motif raisonnable.

1975, c. 6, a. 2.

Ces règles sont l'un des fondements d'une société humaine.

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