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Le Devoir parle de l'association pro-avortement ACLC

Le Devoir du 17 février 2012, avec sa complaisance habituelle pour les éliminateurs d’enfants à naître, publie un article faisant état de la demande de L’Association canadienne pour la liberté de choix (?) d’établir un « label », (une sorte d’étoile jaune?), pour désigner les centres d’aide aux femmes enceintes en difficultés ne référant pas à l’avortement. Voici la description que l'association fait d'elle-même:
 
Qu’est-ce que cette association : Incorporée en 2002, l’Association canadienne pour la liberté de choix (CFC) est un organisme de bienfaisance, sans but lucratif, qui travaille pour que tous les Canadiens et Canadiennes puissent exercer leurs choix en matière de reproduction.
 
CFC imagine un monde où les individus — indépendamment de leur âge, race, genre, orientation sexuelle, lieu de résidence, statut socio-économique ou autre statut — ont accès à l’information, aux ressources et aux services requis pour faire des choix libres sur tous les aspects relatifs à la santé et aux droits sexuels et reproductifs.
 
Le travail de l’Association canadienne pour la liberté de choix porte sur la promotion de l’accès aux méthodes de contraception, la prévention des grossesses non désirées, l’augmentation de la quantité et de la qualité d’information qui circule sur la santé reproductive, l’amélioration de l’accès aux services d’avortements sécuritaires, la formation des médecins et spécialistes de la santé aux thèmes reliés à la santé reproductive, ainsi que l’éducation des femmes, des hommes et des jeunes pour que tous et toutes puissent prendre des décisions éclairées en matière de sexualité et de reproduction. Nous voulons que les familles aient les ressources nécessaires pour élever des enfants heureux et en santé.
 
Nous nous dévouons à :
Éduquer et former les professionnels de la santé sur l’accès à des soins de qualité et de meilleurs services en matière de santé reproductive;
Sensibiliser et éduquer le public sur tous les aspects relatifs aux choix en matière de santé reproductive;
Avancer et supporter la recherche éthique sur les aspects sociaux, légaux et médicaux de la santé reproductive;
Rechercher et analyser les politiques qui ont des répercussions sur la santé reproductive; les faire connaître au public et faire le suivi nécessaire pour qu’elles évoluent en fonction du respect des droits fondamentaux;
Partager les résultats des recherches sur la santé reproductive avec le public et les professionnels de la santé;
Être un centre de ressources et d’information fiable sur les services de santé sexuelle et reproductive;
Promouvoir la santé reproductive au niveau international.
 
En fait, cet organisme a pour mission d’effectuer exactement le travail inverse de celui de Campagne Québec-Vie. Ils sont là pour faire la promotion de l’avortement et de la contraception sous toutes ses formes. Et, plus scandaleux encore, alors que Campagne Québec-Vie ne peut recevoir le statut d’organisme de charité et la possibilité de remettre des reçus d’impôt, l’ACLC est toujours reconnu par le Canada comme organisme de charité et sollicite allègrement les donateurs. Un bel exemple d’injustice et de deux poids deux mesures.
 
De plus, sur le conseil d’administration on retrouve comme président le Dr Norman Barwin, ancien président de Planned Parenthood au Canada… ainsi que le Dr Jean Guimond, avorteur de métier, avouant dans une interview avec Richard Martineau qu’il faisait plus d’un avortement par jour.
 
L’association défend le gagne-pain d’un membre de son conseil d’administration.
 
Les informations de l’article sont bien sûr biaisés.L’avortement peut bel et bien avoir une incidence sur le cancer du sein. Il arrive aussi que des femmes ayant avorté ne puissent plus donner naissance à un enfant. Que l’on utiliseles tissus fœtaux pour la fabrication de vaccins ou la fabrication de cosmétique est également avéré.
 
Le fait que plusieurs de ces centres soient dirigés par des groupes chrétiens n’a aucune importance et la dénonciation de leurs convictions religieuses est de la discrimination selon la religion pure et simple.
 
Il est vraiment dommage que le journal Le Devoir se fasse le porte-parole d’une argumentation bâclée et fausse, faites par une organisation défendant le métier d’avorteur de ses membres…
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