Justin Trudeau ne pouvait savoir que ce collègue, Benjamin Levin, serait accusé... Mais ce qu'il pouvait savoir, le voici. Sur le site de Pour une école libre du 11 juillet 2013 :
(Benjamin Levin, Justin Trudeau et la première ministre de l'Ontario, Kathleen Wynne, à la parade du 30 juin 2013)
Depuis son départ du ministère de l'Éducation, Levin est titulaire d'une chaire de recherche du Canada sur le leadership et la politique en éducation à l'Institut d'études pédagogiques de l'Ontario de l'Université de Toronto. Il a également servi en tant que conseiller en éducation pour le gouvernement de l'Ontario, y compris en tant qu'expert en « équité », euphémisme souvent utilisé pour décrire l'imposition de l'ordre du jour LGBT.(...)En 2009, alors ministre de l'Éducation de l'Ontario, Kathleen Wynne, et son sous-ministre avaient proposé un programme d'éducation sexuelle destiné aux enfants du primaire. Dès la première année, les enfants de six ans apprendraient les différents noms pour les organes génitaux. En troisième année, on leur parlerait de l'homosexualité (en des termes en rien réprobateur, mais comme une orientation légitime). À 11-12 ans, on leur parlerait sans réprobation de la masturbation et un an plus tard, toujours sans tabou, du sexe anal et oral et des condoms.Le premier ministre de l'époque, Dalton McGuinty, avait défendu le programme en avril 2010, insistant sur le fait qu'il serait obligatoire même dans les écoles catholiques subventionnées de l'Ontario. Mais le lendemain de cette année, après une réaction négative du public, il recula. Le « filet que nous avions jeté en termes de consultation était trop petit », avait-il dit, ajoutant que le programme avait besoin d'« un réexamen complet ».Désormais la nouvelle Première ministre de l'Ontario, Kathleen Wynne, une lesbienne qui se revendique comme telle, a annoncé dans un entretien au magazine homosexuel Xtra le 28 janvier qu'elle imposera ce programme recalé en 2010.
« Benjamin Levin, âgé de 61 ans et originaire de Toronto, est sous le coup de cinq accusations, y compris deux accusations de distribution de pornographie juvénile et d'une accusation de production d'un tel contenu. »
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