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Le commerce des enfants à naître en vue de les utiliser à des fins... esthétiques

Sur le site de french.ruvr.ru du 26 juillet 2013, ce rappel de pratiques anciennes et actuelles:

 

(Neocutis a besoin de cellules d'enfants à naître avortés pour fabriquer ces produits miracles...)

 

 

Malgré la crise, le commerce du luxe et du culte de l’apparat ne s’est jamais aussi bien porté. Ainsi, l’ultra-capitalisme dominé par une oligarchie cosmopolite sans plus aucun sens de la morale ne recule même plus devant l’utilisation à des fins cosmétiques de bébés avortés ou de peaux de prisonniers exécutés. Mais cette élite de l’argent encourage aussi des trafics d’embryons à des fins « esthétiques ». Quand la beauté de quelques-uns repose sur la mort des autres.
 
Jusqu’à peu, les informations sur l’utilisation de fœtus dans l’industrie cosmétique et dans la recherche alimentaire avaient été cantonnées aux associations « pro-life » américaines ou a des groupements européens anti-avortement qui fustigeaient des pratiques totalement méconnues du grand public.
 
Rares sont les médias qui osent aborder un domaine aussi scandaleux et répugnant de peur d’être critiqués de faire le jeu de ce milieu très politiquement incorrect des partisans de la révision des lois autorisant le recours à l’avortement. Ce droit faisant désormais partie des législations protégeant le « droit des femmes à disposer librement de leurs corps ». Il paraît cependant nécessaire d’éclairer le public sur des pratiques commerciales stupéfiantes et inadmissibles qui font de la tragédie humaine une source de plantureux bénéfices. Une information ne peut être dissimulée sous prétexte qu’elle donnerait des arguments à des mouvements anti-avortement.
 
En 2005, Le journal britannique The Gardian avait déjà dévoilé la vente par des sociétés de biotechnologies chinoises de collagène provenant de prisonniers exécutés ainsi que sur des fœtus avortés. Le collagène, une protéine fibreuse que l’on retrouve en abondance dans la peau, les tendons et les os, était donc prélevé sur les morts et les embryons et exportés via Hong-Kong au Royaume-Uni. Certaines sociétés de cosmétiques commercialisaient le collagène de la Mort dans toutes l’Europe. Ce n’est que l’an dernier que la Commission européenne (soit plus de sept ans après avoir été avertie de ce problème) a légiféré sur le commerce du collagène en seringue provenant des industries du collagène fœtal.
 
Bien qu’apparemment interdite en Europe, la crème anti-ride au fœtus n’en reste pas moins disponible via le net ou en dehors de l’U.E. Ainsi, après avoir démontré le pouvoir régénérant du collagène humain, des chercheurs suisses de l’Hôpital universitaire de Lausanne se sont associés à une firme basée aux Etats-Unis, Neocutis. Elle est devenue la première compagnie à commercialiser la crème à base partiellement de fœtus humain (appelé désormais « molécule PSP ») et propose par exemple son produit « contour des yeux » au prix de 85 $. Du cadavre sous l’œil en quelque sorte…. A noter pour la petite histoire que la mention « n’a pas été testé sur les animaux » figure sur la crème d’embryon mort…
(...)
 Malheureusement, il semble que ce commerce de peaux et de bébés avortés n’ait plus aucune limite géographique et traverse les frontières de l’imaginable.
 
En Ukraine, des cliniques des régions pauvres de Donetsk et de Kharkiv exploitent depuis au moins une dizaine d’années un commerce illégal de fœtus vers des salons de beauté moscovites. Les cliniques ukrainiennes incriminées n’hésitent pas à payer environ 150 € des mères porteuses qui seront avortées sans aucun contrôle sanitaire ni dépistage de maladie tel que le SIDA ou l’hépatite. Dans un second temps, ces cliniques vendraient les fœtus 7500 € à des salons promouvant une « thérapie fœtale » pour oligarques vieillissants prêts à payer 20 000 $ pour un tel traitement.
 
Dans la région de Sverdlovsk (Oural), c’était la découverte fortuite par un pêcheur, en juillet 2012, du corps de 248 fœtus issus apparemment d’avortements déposés dans quatre barils en plastique de 50 litres qui suscitait des questions sur ce business de la Mort et la potentielle utilisation de ces petits cadavres dans une quarantaine de cliniques de beauté .
 
Evidemment, ce commerce est totalement illégal et combattu mais pour qui l’argent pleut a verse, tout peut se négocier à l’ombre.
 
Oui, l’horreur n’a pas de nationalité et n’a pas de culture. Tous les cas évoqués ont au moins un point commun : l’utilisation de la misère humaine la plus épouvantable par de dévoués dévoyés. Ces intermédiaires payés par cette classe de ploutocrates, d’oligarques et de riches profiteurs de tous bords. Cette classe d’élites économiques et de parvenus qui n’hésitent pas à financer l’immonde pour combler leurs rides et aller montrer leur nouveaux visages aux extraits de morts dans les dîners mondains et les réceptions prestigieuses. Loin de la réalité des populations qu’ils exploitent désormais même post mortem.
(...)

Imaginer? Non, il y a des horreurs auxquelles il ne vaut mieux pas penser... 

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