M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Le cas Michael Schumacher : l'évolution d'un malade déjoue souvent les pronostics. Comment évaluer alors une « fin de vie »?

Sur le site de agoravox.fr du 17 juin 2014 :

(Michael Schumacher : toujours vivant!)

(photo : ph-stop sur flickr.com, licence creative commons)

 

(...)Au début du mois de février, des rumeurs sur le décès du coureur avaient même été diffusées sur les réseaux sociaux tant son état était fragile.

La bonne nouvelle de l’amélioration de la santé de Michael Schumacher apporte une lueur d’espoir même là où il ne devrait plus y en avoir. La médecine a fait d’énormes progrès en quelques décennies, tant sur les diagnostics que sur les traitements, mais elle n’est pas toute puissante et beaucoup d’évolutions, heureuses ou malheureuses, n’ont pas toujours été anticipées.

En d’autres termes, face au corps humain, face à la vie, les pouvoirs des hommes sont relativement modestes et l’humilité consiste à le reconnaître même si, fort heureusement, la science continue à avancer et à soigner de mieux en mieux.

Je rappelle cette petite évidence parce que la science n’aura jamais de pertinence lorsqu’elle croira condamner un malade définitivement. (...)

Poser, comme « balise », que l'on doit permettre l'euthanasie lorsque le patient est en « fin de vie », est tout simplement contraire à tout esprit scientifique... L'impossibilité de la définition de la « fin de vie » permet de laisser libre cours à l'interprétation. 

Publicité
Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !



Laissez un commentaire