Le projet de loi, qui prévoit notamment de punir d'un maximum de 10 ans de prison toute personne qui tirerait des bénéfices d'une gestation pour autrui, a été adopté jeudi «quasiment à l'unanimité», a indiqué vendredi à l'AFP le député Wallop Tungkananurak.
Un refus de la marchandisation de la femme que l'on devrait retrouver dans le féminisme canadien et, par conséquent, dans les lois canadiennes.
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