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La mère de Charlie Gard lance « Et s’il s’était agi de votre enfant ? » après que le juge ait dit que Charlie mourrait à l’hôpital s'il n'y avait pas d'accord

Charlie_Gard-2.JPGLe petit Charlie Gard

Par le Père Frank Pavone (LifeNews.com) traduit par Campagne Québec-Vie

Londres, la mère de Charlie Gard a quitté, en larmes, la Haute Cour de justice aujourd’hui, après que le juge chargé de l’affaire ait dit que Charlie devrait mourir à l’hôpital, si les parents et le Great Ormond Street Hospital ne parvenaient à un accord sur l’endroit où il sera, quand on lui retirera son respirateur artificiel.

Les parents de Charlie se sont battu [juridiquement] avec l’hôpital sur la question si oui ou non ils pourraient l’emmener à la maison, et si, après qu’il ait été débranché de son respirateur artificiel, il pourrait être entouré de ses amis et de sa famille. Cependant l’hôpital a refusé de le laisser aller à la maison – disant qu’il ne pensait pas que le respirateur artificiel puisse passer par la porte d’entrée de cette maison.

Les parents de Charlie disaient qu’ils avaient trouvé un médecin disposé à s’occuper du garçon de onze mois, de telle sorte qu’ils puissent passer le temps avec lui loin de l’hôpital, pendant ses derniers jours, mais le juge Francis a déclaré que Charlie mourrait à l’hôpital si les deux parties n’arrivaient pas à un accord.

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Cela a provoqué une réponse émotionnelle de Yates.

Voici plus de détails:

La mère de Charlie Gard a quitté, en larmes, le tribunal aujourd’hui, lorsque le juge a confirmé que le bambin mourrait à l’hôpital, à moins qu’un accord ne soit fait avec Great Ormond Street d’ici demain midi.

Connie Yates – qui était seule à la Haute Cour – a fondu en larmes et a crié « Et s’il s’était agi de votre enfant ? » avant de quitter l’audience, cet après-midi.

Un juge de la Haute Cour devait annoncer sa décision sur l'endroit où Charlie irait terminer sa vie, suite au nouveau litige dans lequel se sont engagés ses parents et les avocats de l'hôpital – si l'hôpital et les parents ne parvenaient pas à un accord.

Fiona Paterson, une avocate représentant le GOSH (Great Ormond Street Hospital), a déclaré que la situation ne pouvait pas continuer : « cela ne peut se prolonger d’un jour de plus ».

Après que M. Armstrong [l’avocat de Chris et Connie] ait demandé 48 heures de plus pour trouver un réanimateur [médecin certifié qui fournit des soins spéciaux aux patients gravement malades] qui pût s'occuper de Charlie, le juge a déclaré que l'indécision entre les deux groupes « aggravait » le supplice des parents.

Il a déclaré qu'il espérait qu’ils arriveraient à un accord aujourd'hui et a affirmé : « J’ai tout fait pour accommoder les souhaits des parents ».

Il a dit qu'il pourrait donner aux parents jusqu'à demain midi pour essayer de parvenir à un accord, mais il a déclaré qu'il devait y avoir une « position par défaut » s'ils ne peuvent pas s'accorder.

[Précédemment] lundi dernier, Connie Yates et Chris Gard ont décidé de mettre fin au combat juridique, qui avait pour but d’obtenir un traitement expérimental pour leur fils Charlie Gard¹. Sur la base des derniers rapports, le couple a déclaré que l'état de Charlie s'était trop détérioré et qu'il n’y avait plus d’espoir pour que le traitement donne des résultats positifs.

Ils ont fait une requête, cette semaine, à un juge, demandant que l’on permette à Charlie de mourir à la maison. Le nourrisson britannique de 11 mois est atteint du syndrome de l’encéphalopathie mitochondriale (maladie rare) et de lésions cérébrales. Ses parents et le Great Ormond Street Hospital ont été dans une bataille juridique de plusieurs mois au sujet de son traitement².

« Nous lui avons promis chaque jour que nous l'emmènerions à la maison. Cela semble vraiment pénible, après tout ce que nous avons traversé, de nous dénier cela », a déclaré sa mère [...]


¹et empêcher que celui-ci ne soit débranché de son respirateur artificiel – N.D.E.

²et de sa vie. – N.D.E.



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