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La loi du profit et la fécondation in vitro... Un enfant conçu pour être envoyé à la DPJ...

Des fécondeurs in vitro ne se posent pas vraiment de questions à savoir qui ils inséminent... ce n'est pas leur boulot. Eux sont là pour inséminer et ramasser leur salaire. Sur le site du journal La Presse du 1er octobre 2012:

 

 

 

Des médecins du Centre de reproduction McGill ont créé un véritable «enfant de la DPJ», l'an dernier, en inséminant une patiente même si elle souffrait de troubles mentaux, était victime de violence conjugale et avait des antécédents judiciaires. Deux cliniques de fertilité l'avaient d'ailleurs déjà refusée. Dès l'accouchement, le nouveau-né a été enlevé à sa mère. Il ne retournera vraisemblablement jamais dans sa famille.

En janvier 2011, la femme de 37 ans, au passé violent et torturé, s'est présentée à la clinique de fertilité du Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Elle voulait un bébé à tout prix. Au cours des années précédentes, elle avait déjà fait des démarches - vaines - dans deux cliniques privées pour avoir accès à un don de sperme, puisque son conjoint était infertile. La troisième tentative, auprès de l'hôpital, a fonctionné. «Notre rôle n'est pas de déterminer si un patient est apte ou non à subir un traitement de fertilité», a fait savoir l'hôpital dans une déclaration écrite. L'institution a catégoriquement refusé de commenter ce cas précis.

La patiente, dont nous ne pouvons révéler l'identité pour protéger celle de son enfant, est bien connue des milieux policiers pour des histoires de vol, d'actes violents, de conflits avec les voisins et de violence conjugale. Elle a reçu à l'adolescence un diagnostic de dépression majeure et de troubles obsessionnels compulsifs. Elle souffre d'anxiété et de désorganisation. Son conjoint, de 28 ans son aîné, est atteint de déficience intellectuelle et d'un début de démence. Il est agressif, physiquement et verbalement. Incapable de s'occuper lui-même de ses affaires, il est sous la responsabilité du Curateur public.(...)

Comme le veut la règle, elle aurait rencontré un psychologue pour une évaluation psychopédagogique. «Le but de cette consultation n'est pas de présélectionner les patients pour déterminer s'ils vont faire de bons parents, précise le CUSM. Toutefois, des risques potentiels, comme l'abus d'alcool ou d'autres drogues, des psychopathologies, sont évalués, ce qui peut entraîner notre retrait du dossier ou le report du traitement.» Cette fois, le psychologue ne s'est pas opposé à l'insémination, qui a eu lieu en janvier grâce à un don de sperme.

Dès le mois de mai, le médecin traitant a constaté que la future maman ne pourrait pas prendre soin de son enfant. Elle manquait de jugement, disait-il. On lui a fait voir un psychiatre. La Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) est intervenue dès la naissance, en octobre. Le poupon a été transféré aux soins intensifs à cause de complications durant l'accouchement. Lorsque sa mère allait le voir, elle était brusque avec lui et ne savait pas comment s'y prendre. Il lui arrivait de l'emmailloter beaucoup trop serré et par-dessus la tête, où même d'enlever les électrodes installées sur son corps.

Dès sa sortie de l'hôpital, l'enfant a été placé en famille d'accueil, où il vit toujours, près d'un an plus tard

La fécondation in vitro élimine de nombreux enfants qui ne sont jamais répertoriés dans les mises à mort par avortement.

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