Sur le site du journal Le Devoir du 22 janvier 2014 :
(Le serpent de MoÏse qui sauve qui le regarde prendra une toute autre signification si l'euthanasie est acceptée...)
(Photo : sur pixabay, domaine public)
(...)Je pense que les bénéfices de donner la mort pour soulager les souffrances ne sont pas prouvés et que les dangers d’une telle loi pour la société, eux, le sont. En effet, personne ne sait ce qui se passe après la mort, s’il y a un « après », et promettre la fin des souffrances en donnant la mort est un acte qui repose sur une croyance et pas sur la science. Ce n’est donc pas un acte médical. Un acte médical en ces circonstances consiste à supprimer la souffrance par les moyens modernes de sédation, y compris l’interruption complète de la conscience. (...)
Et pour les personnes qui iront en enfer, le « soulagement » risque d'être dur à avaler...
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