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La génétique jouerait un rôle mineur dans l'homosexualité

genetique.jpgSur le site du Nouvel Observateur du 3 mars 2014

(Photo :  greyloch sur flickr.com, licence creative commons)

(...)Chercheur affilié, à l'époque, aux Instituts nationaux de la santé américains (NIH), Hamer (et son équipe) avait trouvé que ce marqueur s'observait un peu plus fréquemment chez les homosexuels mâles que dans le reste de la population. Et, bien qu'un marqueur ne soit pas à proprement parler un gène, mais plutôt une petite variation d’écriture au sein d’un gène, la découverte avait fait le tour du monde (...)

De fait, en l'état actuel de nos connaissances, l'homosexualité masculine se fonde entre 30 à 40% sur des facteurs strictement héréditaires et les "déterminants" de l'orientation sexuelle relèvent d'un mélange complexe et inextricable d'éléments génétiques, hormonaux, environnementaux ou encore sociaux. (...)

Le Dr Alan Sanders, docteur en psychiatrie, qui a participé à l'étude, affirme (mali-web.org du 16 février 2014) :

« Quand on parle de gènes de l’homosexualité, c’est une simplification excessive. Quel que soit le gène qui contribue à l’orientation sexuelle, il va jouer un rôle de variation du trait en question et se pencher plutôt vers l’hétérosexualité ou l’homosexualité. » 

Les recherches sont loin d'être terminées.

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