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L’université Vanderbilt encourage les opérations transgenres pour gagner « énormément d’argent »

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hero Images/Adobe Stock

21 septembre 2022, Nashville (LifeSiteNews) — Le centre médical de l’université Vanderbilt (VUMC) a fait la promotion des « transitions de genre » mutilantes pour les mineurs comme « générant énormément d’argent » et a considéré les objections morales à la participation à cette pratique comme un problème méritant des sanctions, selon une vidéo explosive découverte par Matt Walsh du Daily Wire.

Walsh a publié le 20 septembre 2022 une série de messages Twitter soulignant ses découvertes sur la clinique transgenre de Vanderbilt à Nashville — dont certains patients étaient des enfants de 13 ans seulement — dont les détails ont ensuite été compilés et élaborés dans un article du Daily Wire.

« Nouvelle fracassante : Mon équipe et moi avons enquêté sur la clinique transgenre de Vanderbilt, ici à Nashville. Vanderbilt drogue, castre chimiquement, et pratique des doubles mastectomies sur des mineurs. Mais il y a pire. Voici ce que nous avons trouvé. Commençons par le début. »

« Vanderbilt a ouvert sa clinique transgenre en 2018. Lors d’une conférence la même année, le Dr Shayne Taylor a expliqué comment elle a convaincu Nashville de se lancer dans le jeu de la transition de genre. Elle a souligné qu’il s’agissait d’une “grosse rentrée d’argent”, notamment parce que les opérations chirurgicales nécessitent beaucoup de “suivis”. »

« Vanderbilt était apparemment préoccupée par le fait que tout son personnel ne serait pas d’accord. Le Dr Ellen Clayton a prévenu que les “objections de conscience” sont “problématiques”. Toute personne qui décide de ne pas participer aux opérations de transition en raison de “convictions religieuses” devra faire face à des “conséquences”. »

« Au cas où les objecteurs n’auraient pas reçu le mémo, Vanderbilt a dévoilé un programme appelé “Trans Buddies”. Les “copains des trans” sont des activistes transgenres de la communauté qui assistent aux rendez-vous des patients transgenres et surveillent les médecins pour éviter les comportements “dangereux” tels que les erreurs d’appellation. »

« Vanderbilt met aussi ses Trans Buddies à la disposition des enfants. Ils mettent beaucoup de “services” à la disposition des enfants, y compris la castration chimique. Bien qu’à un moment donné, au cours du mois dernier, ils aient supprimé la reconnaissance explicite de ce fait sur leur site. Voici la capture d’écran archivée [qui dit : “Traitements et services. Gamme complète de tests, de traitements et de services, y compris l’hormonothérapie d’affirmation”]. »

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« Mais ils ont dû oublier de supprimer une vidéo de la chaîne Youtube de Vanderbilt Psychiatry en 2020 qui admet explicitement qu’ils donnent et ont donné des médicaments hormonaux irréversibles à des enfants de 13 ans seulement. » [photos de trois jeunes « garçons » montrant leurs photos lorsqu’« ils » étaient filles.]

« Après avoir drogué et stérilisé les enfants, Vanderbilt — comme l’expliquent dans cette présentation vidéo le chirurgien-plasticien Julien Winocour et l’assistante médicale Shalyn Vanderbloemen — pratique volontiers des doubles mastectomies sur des adolescentes. »

Donc, récapitulons. Vanderbilt s'est lancé dans le jeu de la transition de genre, en grande partie parce que c'est très rentable. Ils ont ensuite menacé tous les membres du personnel qui s'y opposaient et ont enrôlé une bande de militants transgenres pour les surveiller afin de les forcer à se conformer.

« Désormais, ils castrent, stérilisent et mutilent les mineurs comme les adultes, tout en prenant apparemment des mesures pour cacher cette activité à la vue du public. Voilà ce que sont devenus les “soins de santé” dans l’Amérique moderne. »

Le fil de discussion commence par une vidéo du Dr Shayne Sebold Taylor, médecin à la Clinique pour la santé des transgenres du VUMC, qui fait la promotion des procédures chirurgicales homme-femme et femme-homme comme étant extrêmement lucratives pour les hôpitaux.

« Ces opérations rapportent beaucoup d’argent », dit-elle, notant que la « reconstruction de la poitrine » peut représenter 40 000 dollars par patient, et les vaginoplasties bien plus de 20 000 dollars. « Ces opérations demandent beaucoup de travail, il y a beaucoup de suivis, elles requièrent beaucoup de notre temps, et elles rapportent de l’argent ».

Dans une autre vidéo, Ellen Wright Clayton, professeur de pédiatrie, de droit et de politique de la santé à Vanderbilt Law School, déplore l’aversion des professionnels de la santé pour ces pratiques, et estime qu’ils ne devraient pas être les bienvenus à l’université.

« Si vous allez faire valoir l’objection de conscience, vous devez réaliser que c’est problématique », a-t-elle déclaré. « Vous faites quelque chose à une autre personne, et vous ne payez pas le coût de votre croyance. Je pense que c’est un [...] vrai problème. »

Tout en reconnaissant que de telles objections seraient prises en compte, elle a souligné que « dire que vous ne ferez pas quelque chose en raison de votre conscience — de vos croyances religieuses — n’est pas sans conséquence, et ne devrait pas être sans conséquence [...] si vous ne voulez pas faire ce genre de travail, ne travaillez pas à Vanderbilt ».

Dans un effort apparent pour dissuader et intimider les dissensions, Vanderbilt a institué un programme appelé « Trans Buddies », dans le cadre duquel un « copain » assisterait aux rendez-vous pour s’assurer que les médecins sont suffisamment déférents à l’orthodoxie de la fluidité du genre, comme le respect des « pronoms préférés », le tout au nom de la sécurité.

À la suite du rapport, le VUMC a supprimé le site Web de la clinique transgenre (bien que M. Walsh ait assuré aux lecteurs que son équipe avait conservé les documents pertinents) et a publié une déclaration affirmant que le rapport « déforme les faits » et soulignant que toutes les procédures ont été effectuées avec le consentement des parents et insistant sur le respect des droits de conscience des employés, mais ne réfutant aucun des détails spécifiques du rapport.

Tweet de Matt Walsh du 20 septembre 2022 :

« Nouvelle explosive : Après mon rapport, la clinique transgenre de Vanderbilt a supprimé l’intégralité de son site internet. Littéralement tout le site. Ils suppriment tout. »

« Ne vous inquiétez pas, nous savions que cela arriverait et nous avons passé la semaine dernière à sauvegarder des vidéos et des captures d’écran. Nous avons tout. Ils ne peuvent plus le cacher maintenant. »

« Vanderbilt a publié une déclaration en réponse à notre enquête. Ils n’ont pas spécifiquement nié quoi que ce soit figurant dans mon rapport. Leur seule défense pour droguer et mutiler des enfants est que leurs parents y auraient consenti. C’est toute la confirmation dont vous avez besoin. »

Un porte-parole de Vanderbilt a également déclaré au Daily Signal que le VUMC et l’université sont des entités juridiques distinctes depuis 2016, et qu’à ce titre, l’école « n’a aucun rôle dans les décisions médicales et les soins aux patients ».

L’exposition par DailyWire des activités de VUMC a été accueillie par une explosion d’indignation de la part des défenseurs de gauche des mineurs « en transition », qui ont répondu avec la tactique désormais familière consistant à prétendre que rapporter des activités controversées de gauche est intrinsèquement dangereux :

« Matt Walsh déraille et se comporte dangereusement. J’ai passé en revue ses messages d’aujourd’hui et il va blesser ou tuer des gens. J’ai signalé ces messages, mais ça ne suffit pas. FBI ». Leah Torres, MD.

« Le centre médical Vanderbilt a dû déplacer les rendez-vous médicaux de sa clinique transgenre vers des rendez-vous virtuels de télésanté en raison des menaces proférées. Matt Walsh incite à une campagne de terreur contre un hôpital et perturbe les soins. Il va faire en sorte que des gens soient blessés ou tués. » Alejandra Carabello Esqueer.

« La “clinique pédiatrique transgenre” du centre médical de l’université Vanderbilt soulève de graves préoccupations morales, éthiques et juridiques », a déclaré le gouverneur républicain du Tennessee, Bill Lee, au Daily Wire en réaction à la nouvelle. « Nous ne devrions pas autoriser des décisions permanentes, qui changent la vie des enfants, ni des politiques qui suppriment les libertés religieuses, tout cela dans le but de réaliser des gains financiers. Nous devons protéger les enfants du Tennessee, et cela justifie une enquête approfondie. »



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