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L'individualisme, l'un des principaux ennemis de la famille

Sur le site de Famille Chrétienne du 8 septembre 2014, cette réflexion de Mgr Paglia :

(...) « En France, on a calculé qu’une personne sur trois a choisi de vivre seule, alors qu’il y a quarante ans la moyenne était d’une sur dix », rapporte-t-il pour illustrer l’individualisme croissant. En quoi celui-ci consiste-t-il ? « Le « je » prévaut sur le « nous », l’individu sur la société (…) les droits de l’individu prévalent sur ceux de la famille. C’est une opinion toujours plus courante que de penser que le triomphe de l’individu ne pourra se faire que sur les cendres fumantes de la famille. Elle est devenue la pierre sur laquelle trébuche l’individualisme et qui doit être au moins évitée, sinon détruite ». Or, a-t-il poursuivi, « Il n’est pas bon que l’homme soit seul » ; « il est impossible à l’homme d’exprimer son « moi » aussi longtemps que n’apparait pas la perspective du « nous ». Dieu lui-même n’est pas solitude, il est une famille de trois personnes qui s’aiment au point d’être une seule et même chose ».

Si le diagnostic vaut les sociétés dans leur ensemble, le Cardinal Gerhard-Ludwing Müller, préfet de la congrégation de la doctrine de la foi, souligne pour sa part que les chrétiens sont trop nombreux à ne plus vivre les grâces de leur mariage. Dans L’espérance de la famille, un petit livre constitué par une longue interview du cardinal par le P. Carlos Granados, directeur général de la Bibliothèque des auteurs chrétiens, le Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi explique : « On ne vit pas le mariage chrétien, voilà le problème majeur de la famille ! » . La pointe de la réflexion du cardinal préfet est résumée ainsi par le cardinal Sebastián, dans la préface de ce livre/interview : « Le problème principal que nous avons dans l’Église concernant la famille ne réside pas tant dans le petit nombre des divorcés remariés désireux de s’approcher de la communion eucharistique. Le grand nombre de baptisés qui se marient civilement et le grand nombre des baptisés et mariés sacramentalement qui ne vivent pas leur mariage ni leur vie matrimoniale en conformité avec la vie chrétienne et les enseignements de l’Église, voilà le problème. » (...)

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