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L’euthanasie avance par des jugements bancals

La juge Danielle Côté, de Sherbrooke, a imposé une sentence clémente à André Bergeron qui avait étouffé sa conjointe Marielle Houle en juillet 2005 parce qu’elle était atteinte de l’ataxie de Friedreich qui l’affaiblissait gravement. Il est vrai que Mme Houle avait demandé à M. Bergeron, à plusieurs reprises, de l’aider à se suicider, mais les demandes d’une personne dépressive ne peuvent justifier un tel acte de violence mortelle. Les juges devraient le savoir. M. Bergeron n’aura même pas à purger du temps en prison puisqu’il n’est condamné qu’à trois ans de probation (qu’il vivra dans la société civile). Il faut dire que le procureur avait accepté de n’accuser M. Bergeron que de voies de fait ayant causé la mort plutôt que de l’accuser de meurtre, ce dont il était en fait coupable.

On voit que l’activisme judiciaire, basé sur le progressisme et une fausse compassion, fait avancer le droit et la société vers une acceptation du « meurtre par compassion » et éventuellement du suicide assisté et de l’euthanasie. Que vaut une telle « justice »?

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