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L'avortement, la franc-maçonnerie et l'Afrique

Des gouvernements africains se préparent à faire passer des lois légalisant l’avortement.
 
La population n’en veut pas, mais les organismes et parlementaires influencés et sous pression des gouvernements occidentaux veulent légaliser l’avortement. Le site de Radio Ville-Marie du 2 mai 2012 nous apporte cette information :
 
 
 
 
 
 
Récemment, le président rwandais Paul Kagame a reçu les représentants des différentes confessions religieuses dans le pays, pour discuter d’une nouvelle loi sur la légalisation de l’avortement, sous conditions.
 
Votée par le parlement, cette nouvelle loi autorise l’avortement si une femme est tombée enceinte suite à un viol, si elle est victime d’un mariage forcé, si elle a eu une relation sexuelle avec un proche jusqu’au deuxième degré, ou si la grossesse peut sérieusement entraver la vie de l’enfant ou de la mère qui le porte.
 
Regroupés au sein du forum « Rwanda Peace Plan », les responsables des Églises et des autres religions du pays assimilent la nouvelle loi à « un crime parmi tant d’autres ». D’autres responsables de confessions religieuses qui sont intervenus lors de la conférence de presse, ont eu un seul mot d’ordre : « Nous devons être les voix des sans voix pour exprimer que l’avortement est le meurtre d’un innocent et qu’il ou elle pourrait devenir une personnalité importante ».
 
Même si la population n’en veut pas, les gouvernements passeront outre à la démocratie. Rappelons que de nombreux parlementaires et présidents africains sont francs-maçons, du président gabonnais Ali Bongo Omdiba au premier ministre ivoirien Jeannot Ahoussou-Kouadio, par exemple, parmi tant d'autres (voir l'article paru dans le magazine Jeune Afrique du 24 avril 2012). Ils sont par conséquent, "ouverts" à l’avortement, à l’euthanasie, aux « solutions » de désespoir prônés à l’intérieur de la société secrète.
 
 
Les Occidentaux aiment parler des avortements clandestins. Mais ils ne veulent pas entendre parler des solutions. Deux Rwandaises, Philomène Nishyirembere et Édith Mukakayumba, interrogées à l'émission Tam-Tam de Radio-Canada ont livré une profonde analyse des causes des avortements clandestins et des réelles solutions.Dans ces pays africains où les enfants sont tant aimés, l’avortement n’est envisagé que pour effacer la honte d’une naissance hors mariage. Un changement de mentalité pour faire cesser les jugements et permettre aux mères d’accueillir sans honte leur enfant, une politique qui responsabiliserait les hommes qui refusent leur paternité, seraient des solutions plus humaines et efficaces que des cliniques stérilisées d’avortement. Ce n’est pas le choix des Occidentaux, ni celui des politiciens africains véreux qui leur mangent dans la main. C’est celui de la population, majoritairement croyante et pratiquante qui refuse le meurtre comme solution. Une entrevue à écouter pour avoir le véritable point de vue africain sur la question!
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