Sur le site du journal La Presse du 17 juin 2014 :
(Photo : wikipédia sans copyright)
(...) on peut entendre la future Première dame des États-Unis ricaner à plusieurs reprises en commentant les détails de cette triste affaire, dont la destruction par la police d’échantillons d’ADN susceptibles de prouver la culpabilité de l’accusé, Thomas Alfred Taylor.
La destruction des échantillons d’ADN a permis à Clinton de négocier une peine réduite pour son client, qui a écopé d’une année de prison pour avoir «caressé» la fillette.
Hilary Clinton témoigne que son client a réussi un test de polygraphe et que depuis ce temps, elle n'accorde plus aucun crédit à ce test... Et elle voudrait devenir présidente des États-Unis?
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