Sur le site du Journal de Montréal du 6 février 2014 :
(Photo : kevincrumbs sur flickr.com, licence creative commons)
Je persiste à dire que la mort provoquée, l’euthanasie, n’est pas plus digne que le suicide d’un jeune ou que n’importe quel homicide.
(...)
Je persiste à dire qu’on ne peut pas vraiment parler d’un «consentement libre et éclairé» quand il s’agit de personnes malades, souffrantes, vieillissantes, souvent désespérées et abandonnées. Elles n’ont pas besoin d’une injection létale, mais de soins attentifs puisqu’elles sont toutes égales en dignité.
Il est rare que l'on entende un politicien parler aussi clairement. À lire.
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