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Euthanasie et suicide : du pareil au même... D'excellents arguments

On nous a fait parvenir cette excellente argumentation sur l'euthanasie:

Le 18 mai, 2013 à midi sur les plaines d’Abraham à Québec

Les personnes en situation de handicap diront
EUTHANASIE, NON MERCI!
 
Discrimination :
Lorsque la société permet l'euthanasie, elle dit que certaines vies valent moins que d'autres.
Quand un adolescent victime d'intimidation, une personne gaie victime de violence, ou un conjoint en deuil est suicidaire, cette personne reçoit des services de prévention du suicide. Quand une personne ayant une déficience dit qu'il veut mourir, on lui offre l'euthanasie.
Des tentatives de suicide sont souvent considérées comme un appel au secours. Qu'en est-il du droit des personnes handicapées d’appeler à l'aide?
Les mesures de prévention du suicide devraient être appliquées uniformément à toutes les personnes.
L'euthanasie est un sujet des droits des personnes en situation de handicap :
L'euthanasie ne se limite pas aux personnes atteintes d'une maladie terminale.
Presque toutes les personnes qui demandent de l'euthanasie ont une déficience physique, mentale ou sensorielle qui limite les activités quotidiennes.
Parmi ceux qui demandent le suicide assisté dans l'Oregon où la pratique est légale, la plupart le font en raison de problèmes liés au handicap, pas à cause de la douleur.
Sécurité / abus :
Les aînés et les personnes handicapées sont deux fois plus susceptibles face à l’abus financier, émotionnel et physique que les personnes non handicapées.  L'euthanasie peut entrainer un abus mortel.
Les garanties sont inefficaces.  Par exemple :
- La pression financière et sociale peut amener quelqu'un à demander de l'euthanasie.
- Les évaluations de «compétence» ne sont pas conçues pour détecter ou écarter le deuil ou les problèmes traitables qui peuvent conduire à des sentiments suicidaires.
- Là où le suicide assisté et l’euthanasie sont légaux, les problèmes et les abus ne sont pas détectés quelquefois parce que :
les médecins parfois ne déposent pas les rapports requis,
les décès attribués aux programmes ne sont pas comptés comme des suicides,
l'information actuellement recueillie ne suffit pas, et
les données de base sont détruites lorsque les rapports statistiques sont produits.
Permettre à quelques personnes de contrôler quand et comment ils meurent ne vaut pas la peine de mettre en danger un grand nombre d’aînés et de personnes handicapées.
Le Canada a rejeté la peine capitale en raison de la possibilité une seule personne puisse être tuée à tort. Pourtant, les gens qui meurent par euthanasie n’obtiennent même pas une audience du tribunal pour assurer leur compétence et volonté.
 
Autodétermination :
 
La loi actuelle donne à chacun le droit de refuser des traitements médicaux, de la nourriture et de l'eau, même si cela entraine la mort.
Le «choix» de mourir est une illusion là où la discrimination, le manque d'accès aux soins palliatifs, de services et de soutien à domicile limitent la qualité de vie des personnes âgées et handicapées.
Comment peut-on faire un choix libre de mourir lorsqu’on n'a pas de choix de place ou façon de vivre?
« Les personnes handicapées n'ont pas besoin de mourir pour avoir de la dignité »
« L’incapacité ne devrait pas valoir la peine de mort »
« Luttons pour vivre, pas pour mourir »
« Nous sommes Toujours Vivant »
 
Vous pouvez consulter le lien de l'organisme Toujours vivant/Not dead yet (Canada)
 
www.tvndy.ca
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