Sur le blog de Jeanne Smits du 8 octobre 2012:
(manifestants réclamant le droit à l'avortement... et la possibilité de vandaliser la cathédrale de Posadas, en Argentine)
Dignes, debout, pacifiques, priant. Un groupe d'Argentins – beaucoup de jeunes hommes, mais aussi des jeunes filles et des personnes moins jeunes, ont supporté pendant de longues minutes les assauts d'un « rassemblement de femmes » réclamant le droit à l'avortement et le reste devant la cathédrale de Posadas. Ils récitaient le chapelet. Sans réagir aux badigeons de peinture. Ni aux crachats. Ni aux hurlements des femmes qui s'approchaient en hurlant, certaines en se dénudant. Ni aux insultes aux prêtres, à l'Eglise, à Dieu. Ils priaient : les jeunes hommes protégeaient les jeunes femmes ; ensemble ils empêchaient l'accès à la cathédrale pendant que le « rassemblement des femmes » taggait les murs accessibles, les trottoirs, mais aussi, bien d'autres monuments de Posadas où des habitants se plaignent des dégradations qui ont touché toute la ville.
Elles réclamaient « l'avortement pour ne pas mourir, des contraceptifs pour ne pas avorter ».
http://www.youtube.com/embed/iWx8-htaaSs
Au Québec, la police est encore capable d'intervenir pour contenir les groupes de féministes anarchistes (hommes et femmes) qui aiment également vandaliser, saccager et agresser si possible les défenseurs des enfants à naître. Il est normal et habituel que des groupes réclamant la mise à mort des enfants soient violents dans tous leurs comportements. Ce qui est préoccupant, c'est le silence des groupes modérés de la société civile devant ces agressions répétées contre la liberté d'expression et la liberté d'association, comme ce fut le cas lors des congrès de Campagne Québec-Vie.
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