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Derniers chiffres sur le suicide au Québec

Sur le site du Journal La Presse du 30 janvier 2013:

 

(Un slogan à présenter à la ministre Hivon, pour la faire réfléchir sur le geste de tuer par euthanasie, comme si ce geste pouvait être un geste de compassion...)

 

 

 

Le taux de suicide des Québécois a continué de baisser en 2010 et 2011, selon de nouvelles données de l'Institut national de santé publique du Québec. Résultat: le Québec n'affiche plus le pire taux de suicide des provinces canadiennes. Il figure désormais au 4e rang.

« C'est encourageant de voir que les efforts qui sont faits donnent des résultats », commente Bruno Marchand, directeur de l'Association québécoise de prévention du suicide.

 « Mais c'est aussi décourageant de voir qu'il y a quand même plus de 1000 personnes qui se suicident chaque année, alors qu'on pourrait en avoir 500 ou 800 de moins. Il suffirait de mettre en place des moyens bien connus, qui ont déjà fait leurs preuves », poursuit-il.

 En 2010, 1089 Québécois se sont enlevé la vie, dont 222 Montréalais. Cela représente un taux de 13,7 suicides par tranche de 100 000 habitants. Lorsqu'on observe une carte de la métropole, le taux progresse d'ouest en est, car les francophones se suicident plus souvent que les anglophones et que de nombreux immigrés.

Autre constat : les hommes continuent de se suicider trois fois plus que les femmes (829 Québécois l'ont fait en 2010, contre 258 Québécoises). Mais peu importe le sexe, les personnes âgées (65 ans et plus) et les adolescents se suicident moins que les autres.(...)

«On n'a pas de temps à perdre : à chaque jour qui passe, on perd trois autres personnes. Pour la société, le fardeau de tous ces morts est énorme. On fait fausse route de remettre ça entre les mains des familles.»

 Fait encourageant : si le taux de suicide des Québécois atteint un sommet à 50 ans, il ne cesse ensuite de baisser jusqu'à 80 ans. Ailleurs dans le monde,c'est le contraire. « Cela s'explique par le fait que nos aînés sont plus heureux qu'ailleurs, plus près de leurs proches, dans une meilleure situation financière et jouent un rôle social plus important », pense M. Marchand.

 

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