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Denise Bombardier fait l'éloge du féminisme et de "l'amour libre"

Denise Bombardier, dans un article du journal Le Devoir du 4 février, va jusqu’à affirmer :
 
« La seule révolution réussie du XXe siècle, celle qui n’a pas fait de victimes, n’a pas construit de camps de la mort, n’a pas semé la terreur, n’a muselé personne, n’a violé aucune loi et n’a imposé aucune barbarie, c’est la révolution féministe. Le combat pour l’égalité des sexes a bien sûr bousculé bien des hommes; il a aussi permis à des “fondamentalistes” antihommes de sévir dans des écrits en forme de brûlots, mais ces dommages collatéraux dont des vétilles en regard du progrès que le féminisme a entraîné dans nos sociétés. »
 
Si la révolution féministe s’attribue, comme elle le fait souvent, le « droit » à l’avortement reconnu à travers maint pays, comme l’une de ses réalisations, elle peut d’ore et déjà s’attribuer le titre d’idéologie la plus meurtrière de toute l’histoire de l’humanité, avec 55 millions d’enfants torturés et tués dans le monde, ANNUELLEMENT!
 
Le féminisme marxisme a placé la guerre au sein des familles : père contre mère, mère contre l’enfant, la citoyenne contre la famille. Il est certainement l’un des plus grands fléaux de l’humanité à l’heure actuelle et ses fruits, avortements, contraception, divorces, ont asservi la femme au désir masculin. Ce dernier n’a plus besoin de se marier ni de porter une quelconque responsabilité en cas de grossesse. Et il y a des femmes habituellement intelligentes, incapables de s’extirper de la propagande féministe qui recouvre la pensée occidentale, faisant l’éloge de cette idéologie totalitaire!
 
« Si tous les hommes étaient comme mon mari, disait la philosophe Aline Von Hildebrandt, jamais nous n’aurions été assez stupides pour être féministes ».
 
Et l’actrice Madeleine Renaud, de même, affirmait ne pas partager ni comprendre les revendications féministes, elle qui avait vécu pour Jean-Louis Barrault et lui pour elle.
 
Il faudra réaliser qu’en acceptant « l’amour libre », les femmes ont accepté de ne pas être aimées. Denise Bombardier attaque le mariage dans son article sans s’apercevoir qu’elle attaque la seule structure extérieure favorisant l’amour véritable entre un homme et une femme en couple, parce qu’elle est la seule structure ne séparant pas l’amour de la responsabilité qui lui est conjointe.
 
« Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose... -         Je suis responsable de ma rose... répéta le Petit Prince, afin de se souvenir. »
 
Le féminisme, défenseur de « l’amour libre », gagnerait non pas à se souvenir, mais à apprendre ce qu’est l’amour et la responsabilité. Il pourrait dès lors défendre le bonheur des femmes et non pas le détruire en construisant un type de femme totalement anti féminin, antifemme, antifamilial, ce type de femme vieille fille aigrie à la Simone de Beauvoir qu’elle a pris comme modèle, où réclamant l’euthanasie comme une Benoite Groulx, adolescente attardée ayant tentée de jouir de la vie, sans jamais comprendre un instant ce qu’est l’amour dans ses aventures de cinéma aux multiples amants. Des vies pitoyables d’une infinie tristesse que le féminisme présente comme des modèles d’émancipation! À quand le réveil?
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