M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Déviance sexuelle : «il arrive que dans certains cas, le visionnement de pornographie cause un passage à l'acte»

Sur le site du Journal de Montréal du 14 décembre 2012:

(Rémy Couture à l'émission Tout le monde en parle)

 

Si la déviance sexuelle n’est pas toujours un crime, il arrive que dans certains cas, le visionnement de pornographie cause un passage à l’acte.
 
Dernier témoin de la Couronne au procès du spécialiste en effets spéciaux, Rémy Couture, le psychiatre judiciaire, Peter Collins, a donné un exemple de passage à l’acte frappant.
 
Une journée de 2003, Michael Brière regardait de la pornographie juvénile à son domicile de Toronto. Mais le visionnement d’images ne lui suffisait plus. Il avait alors kidnappé la petite Holly Jones, 10 ans, pour la violer, la tuer et la démembrer.
 
«Pour plusieurs raisons, il a décidé qu’il était juste fatigué de juste regarder des photos», a expliqué le témoin.
 
Le Dr Collins a d’ailleurs une vaste expérience dans les affaires criminelles. Il a œuvré avec de nombreux corps de police et a travaillé sur des dossiers marquants, comme celui du tueur Paul Bernardo et l’ex-colonel Russel Williams, a-t-il expliqué hier au palais de justice de Montréal. (...)

Avant le témoignage du Dr Collins, un psychologue californien avait expliqué qu’il croyait que le visionnement de pornographie violente par des adolescents pouvait créer chez eux un conditionnement négatif.
 

Il y aura toujours des irresponsables démagogiques et immatures pour défendre la pornographie et la violence extrême comme étant de l'art. La pornographie contribue à cette culture de mort liée à une sexualité sans amour. Nous pouvons reprendre la réflexion de Mathieu Bock-Côté dans le Journal de Montréal du 14 décembre 2012, bien qu'il ne l'appliquerait peut-être pas lui même à ce cas:

C'est justement le rôle de la culture au sens large de nous éduquer à privilégier les bonnes pulsions et à refouler les mauvaises. La culture nous éduque au bien et nous apprend à ne pas céder à la tentation du mal, comme disaient les chrétiens.

La première pulsion à refouler, c'est évidemment la tentation du meurtre. Il y a quelque chose d'un peu délirant à ce que notre société soit parvenue à la dédramatiser ainsi.

 

Publicité
Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !



Laissez un commentaire