Sur le site du journal La Presse du 1er octobre 2013 :
(Manipulée, des adolescentes en mal de sensations fortes...)
(Québec) L'interrogatoire économique des libéraux à la période de questions a été perturbé par des femens. Deux jeunes femmes ont enlevé leur chandail et se sont mis à crier: «crucifix, décalisse!». Ces mots étaient aussi écrits en noir en majuscules sur leur torse. Elles ont scandé leur slogan pendant quelques secondes, avant que les constables spéciaux ne les maîtrisent.Une troisième jeune femme assise à leurs côtés les a ensuite imités.Leurs cris ont retenti pendant une vingtaine de secondes avant qu'on ne les sorte du salon bleu. À l'extérieur du salon, dans le corridor, elles ont continué de crier pendant que plusieurs agents essayaient de leur faire enfiler un veston et de les maîtriser.(...)Le groupe s'y décrit ainsi: «FEMEN se conçoit à cinquante pour cent comme une organisation féministe, et à cinquante pour cent comme un groupe d'actionnistes. Le but est de toujours créer des actions inédites tant par leur contenu que par leur forme. C'est toujours un mélange subversif de politique, de sexe, de scandale, d'agression et d'art que l'on peut appeler féminisme pop. Il s'agit de raviver à la fois la scène politique et la scène artistique.»
La christianophobie est bien présente au Québec. On le voit avec ces églises vandalisées, le peu de cas que font nos médias des chrétiens persécutés à travers le monde, les railleries sur les ondes radio (Dutrisac) et à la télévision. Comme il est courageux d'attaquer des gens qui ont pour précepte d'aimer leurs ennemis et de vouloir du bien à ceux qui les haissent...
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