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S’enfuir : comment une mère a quitté Planned Parenthood avec son bébé survivant

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Par Prolife Wife - Traduit par Campagne Québec Vie

Le 6 novembre 2015 -- Alors que je prêchais pour la vie, plusieurs amis sont venus partager leur histoire de tragédie et de victoire et en particulier, le témoignage suivant en est un dont j’ai senti le besoin de partager.

Je me souviens de Donanne qui est tombée enceinte quand elle était adolescente mais je n’avais jamais réalisé quel combat elle avait dû mener. Maintenant que je le réalise, je suis encore plus ravie qu’avant de connaître son fils. 

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Voici son histoire en ses propres mots…

« J’avais 15 ans quand je suis tombée enceinte de Sean. Je n’étais pas dans une bonne relation, son père aimait beaucoup jouer au plus fin. Je n’ai jamais pensé tolérer ça de quelqu’un mais c’est ce que j’ai fait et ça n’a pas marché. Alors, quand j’ai en fait réalisé que j’étais enceinte, je venais d'avoir 16 ans. Il m’a demandé d’avorter et j’ai eu tellement peur. J’ai pensé que je n’aurais jamais à envisager une telle chose… mais je l’ai fait.

Je suis allée à Plan Parenthood. Je n’avais même pas besoin de la permission de mes parents pour me faire avorter. Je pleurais et j'avais tellement peur. Je me souviens d’être assise pensant « pourquoi es-tu ici? Ce n’est pas bien.»

À ce moment, on m’a rappelée. Je me suis levée et j’ai suivi la femme en arrière tout en pleurant. Elle m’a dit que ça irait bien; ils avaient seulement besoin de prendre une photo pour voir à quel stade j’en étais. Je me suis allongée alors sur la table et elle a démarré une échographie tout en m’empêchant de voir l’écran. J’ai demandé à le voir et elle a répondu : « non, c’est mieux pour toi de ne pas le voir ».

À ce moment, je pleurais encore plus fort et j’ai commencé à prier.

Tout à coup, le temps s’est arrêté et Dieu m’a dit de me lever et de partir et que tout irait bien. Ce que j’ai fait.

J’ai dit à la dame que c’était insensé et que je n’allais pas tuer mon bébé. Elle m’a regardé comme si c’était moi qui perdais la raison. J’ai alors ramassé mes affaires et je suis partie.

Les quelques mois qui suivirent n’ont pas été faciles. Beaucoup de choses se sont passées. Les gens que je croyais amis parlaient de moi et cela m’a blessée. Ça a été si difficile de me rendre à l’école, mais j’y suis allée tous les jours jusqu’à ce qu’on me demande d’éviter de rester debout.

J’ai pleuré alors plus que jamais, je pense.

Puis, le 10 mai 2002, j’ai été comblée d’un bébé garçon de 8.5 livres aux yeux clairs. J’étais en train de prendre du retard scolaire avant et l’ayant eu m’a permis de me redresser puisqu’en 2004 j’ai achevé l’école avec tous mes amis, avec tous des A et des B. Si Dieu ne m’avait pas donné cet enfant, je ne pense pas que ce serait arrivé, je dégringolais une mauvaise pente. » 

Je suis si contente de dire que Donanne et son fils avec ses 3 autres enfants et son mari se portent tous très bien.

Quel courage et quelle force ça prend pour dire non! Donanne a fait des erreurs et elle n’était pas parfaite, mais elle s’est saisi de ce qui en a résulté pour changer. Sean a sauvé sa vie [celle de Donanne] et en se tirant de cette table, Donanne a sauvé son bébé.

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C’est tellement important qu’on réalise combien les femmes ont peur et comment elles sont confuses lorsqu’elles vont avorter. Toutes les femmes n’y vont pas pour tuer leurs bébés, beaucoup sont juste terrifiées.

On doit aussi se rendre compte de ce que le personnel de la clinique faisait à Donanne… La manipuler en l’empêchant de voir à quoi ressemblait son bébé. Les cliniques savent que les femmes qui voient les échographies sont beaucoup plus portées à choisir la vie que l’avortement. Elles voient que ce qu’elles veulent arrêter est en fait un bébé humain et c’est pourquoi on n’a pas voulu que Donanne le voit. C’est pourquoi on ne laisse aucune maman voir.

Dieu merci, Donanne a compris cette tactique et a reconnu ce qu’on essayait d’obtenir d’elle.

Malheureusement, toutes les femmes ne laissent pas tomber comme Donanne.

La plupart du temps, la manipulation de la clinique fait son effet sur les femmes qui s’y rendent.

Il faut éduquer les gens sur les échographies et encourager la femme qui considère l’avortement à faire l’échographie d’abord pour s’assurer qu’elle le veut. On ne peut laisser continuer cette manipulation.

L’expérience de Donanne est un exemple parfait pour montrer que choisir la vie en vaut la peine.

Si Donanne peut le faire à 16 ans, finir l’école, vivre pleinement sa vie tout en permettant aussi à son enfant de le faire, alors toutes les jeunes femmes là, le peuvent.

Ne laissez pas la peur motiver le meurtre.

Ne laissez pas les murmures des gens vous abattre. Portez vos enfants car c’est la bonne chose à faire. Aussi bien vous-même que votre enfant en sortirez heureux.

Les filles, soyez braves comme Donanne! Elle n’est pas Super Woman et elle ne pensait pas le faire non plus… mais elle l’a fait. Il y a quelque chose de beau en une femme qui choisit bravement de surpasser la peur et qui sort victorieuse d’une tragédie. On a tous cette beauté en soi. On doit juste la trouver et vouloir la démontrer comme Donanne. On peut toutes être forte et courageuse. On peut toutes choisir de laisser vivre ses enfants.

Être brave, c’est beau!

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