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Comment tuer son peuple...

Nous ne combattons pas l'avortement pour des raisons patriotiques, mais par amour des enfants à naître. Mais il y a des effets secondaires à cette tragédie. L'effacement des valeurs chrétiennes et des valeurs humaines entraîne l'effacement d'un peuple.

Mathieu Bock-Côté dans son article du journal 24h du 22 septembre 2011 réhabilite comme source de notre identité le catholicisme. Enfin, la raison revient!  Remarquez, M. Coté est athée, mais il a l’honnêteté de ne pas nier que le catholicisme est une part des plus importante de l’identité québécoise.

Cela, le parti Québécois l’a nié depuis 30 ans. Voulant couper cette racine chrétienne de notre histoire, il ne s’est pas aperçu qu’il attaquait l’âme même de notre identité. Le dernier député défendant ses position chrétiennes au Parti Québécois fut évincé au début des années 1980. En raison de ses positions pro-vie. On reproche actuellement au Parti Québécois d’être déconnecté de la réalité, mais cela dure en fait depuis ses débuts. Ce parti a voulu construire une nation québécoise indépendante de ses racines chrétiennes, attaquant ainsi de front le patriotisme canadien-français et québécois, i.e. l’héritage chrétien de nos pères. Combien de souverainistes ont décrochés de cette folle bulle péquiste? Certainement assez pour que deux référendums échouent.
 
Mais le plus grave, non seulement au Parti Québécois, mais dans tous les différents gouvernements successifs québécois, c’est cette lâcheté qui n’accepte pas de voir la réalité : avec un taux de natalité de 1,7 enfant par couple et 30 000 avortements par année, le Québec se suicide. Aucune loi ne peut permettre la survie d’un peuple prenant les moyens contraceptifs et familiaux nécessaires pour disparaître. Si nous continuons d’avoir pour fierté notre décadence, le refus des nouveaux immigrés de s’intégrer à cette société morbide produira le remplacement d’un peuple et d’une culture par des populations aux valeurs plus saines. L’histoire se répète. Nous ne serons ni le premier, ni le dernier peuple décadent s’effaçant volontairement  de la surface de la planète.
 
Et le musée catholique, comme ruine et souvenir d’une époque révolue n’y changera rien. Il faut retrouver le goût de la vie, le goût de vivre et cela passe par des mesures prouvant que nous aimons la vie, les enfants, de leurs conceptions à leur morts naturelles. Il faut cesser l’avortement, aider les femmes enceintes en difficultés, aider les familles à élever leurs enfants, faciliter l’adoption, soutenir les aidants naturels, offrir des soins palliatifs universels. Alors nous deviendrons une société humaine et accueillante de chacun. Nous deviendrons une famille de familles, c’est-à-dire quelque chose comme un bon peuple, un peuple où il fait bon vivre. 
 
Toute ces politiques demande l’espérance, mais l’espérance est une vertu de l’âme… Comme peuple, avons-nous encore une âme?  
 
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