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Choix de livres divers

(1)-McCORVEY, Norma. L’affaire Jane Roe, histoire d’une manipulation, éd. de L’Homme Nouveau, Paris, 2008, 366 pages.

« Comment la femme qui fut l’emblème de l’avortement aux États-Unis y est-elle devenue la plus célèbre icône du combat pour la vie?
 
À 21 ans, enceinte pour la troisième fois, Norma McCorvey, pauvre et paumée, devient le prétexte, sous le pseudonyme de Jane Roe, de l’arrêt Roe contre Wade de la cour suprême qui légalise l’avortement en 1973.
 
Un livre-événement dont on ne ressort pas indemne mais ouvre aussi toutes grandes les portes l’espérance. »
 
(2)-LACOSTE LAREYMONDIE, François de. Je refuse! L’objection de conscience, ultime résistance au mal, éd. de L’Emmanuel, Paris, 2011, 221 pages.
 
« L’objection de conscience est une question éthique et politique majeure qui demeure méconnue. Autrefois invoquée principalement par les conscrits qui refusaient le service militaire, aujourd’hui, dans un contexte politique et moral profondément transformé, elle concerne directement les professionnels de la santé, de la justice, de l’information ou de la défense de la vie politique. Il existe peu d’écrits sur ce sujet alors qu’il soulève de nombreuses questions, parfois délicates.
 
Que faire lorsque l’on est confronté à un cas de conscience? Doit-on, quoi qu’il arrive, respecter une loi même inique, ou obéir à ses supérieurs quoi qu’ils vous commandent, au risque de transgresser les principes fondamentaux de la morale ou les valeurs auxquelles nous sommes le plus attachés? Ou bien doit-on désobéir?
 
Inversement, chacun peut-il se faire juge de la loi ou des ordres qu’il reçoit, et décider de les appliquer ou non à son gré, sans que la société ne sombre dans l’anarchie? L’État peut-il légiférer sur l’objection de conscience, voire en faire « un droit », sans menacer ses propres fondements?
 
En fin de compte, quand tous les autres moyens ont échoué, pourquoi l’objection de conscience demeure-t-elle l’ultime voie de résistance au mal?
L’auteur n’esquive aucune de ces questions mais les traite de façon méthodique et approfondie.
 
Il s’appuie sur des grands témoins connus (Thomas More, Baudouin 1er de Belgique, Franz Jägerstätter) qui servent de trame à sa réflexion. Il a le souci pédagogique d’expliquer les concepts mis en jeu (liberté, tolérance, vérité, autorité, responsabilité, discernement, prudence), en les replaçant dans leur contexte historique et philosophique, sans en omettre la dimension spirituelle. À partir de là, il élabore une définition précise et opératoire de l’objection de conscience. Il montre aussi l’ampleur du champ dans lequel elle peut se déployer. 
 
Soucieux de rester concret, il présente de nombreux exemples et procède à des mises en situation; il prend également soin d’éclairer le moment où elle naît et les écueils à éviter.
 
Pour finir, il rassemble tous ces aspects en un guide pratique, auquel chacun pourra se référer si, un jour, il est confronté à ce dilemme. 
 
François de Lacoste Lareymondie, marié et père de famille, ancien élève de Sciences Po et de l’ENA, fut d’abord officier de la Marine, puis administrateur civil avant d’être rapporteur au Conseil d’État. Il a ensuite mis ses compétences au service du groupe bancaire CIC dont il est devenu le secrétaire général. Il est aujourd’hui membre du directoire du Fonds de Garantie des Dépôts. Il a été élu local pendant vingt ans. Il a publié de nombreux articles dans la revue Libert politique et sur le site libertepolitique.com édités par l’Association pour la Fondation de Service politique dont il est le vice-président. »
 
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