(Photo : Tdvorak sur wikimédia.org, licence creative commons)
Mme Heather Knies, de l’Arizona, vient d’informer la télévision de sa ville de Phoenix, qu’elle a survécu au même cancer du cerveau dont Mme Brittany Maynard était atteinte, alors que Mme Maynard, à qui on a donné aucun espoir, est déménagée en Oregon pour se prévaloir du suicide assisté, qu’elle a mis à exécution, au tout jeune âge de 29 ans, samedi dernier. Toutes deux avaient reçu un pronostic de six mois à vivre. Il y a dix ans, Mme Knies a subi deux opérations ainsi que des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie, et depuis, des examens d’imagerie par résonance magnétique (IRM) aux trois mois démontrent l’absence totale de cancer chez elle. Pourquoi Mme Maynard n’a-t-elle pas reçu la chance que Mme Knies a eue ? Les diagnostics et les pronostics fatalistes pourraient-ils être, parfois, une façon de décourager les gens à se prévaloir de traitements bénéfiques ?
Isabelle O’Connor
Montcerf-Lytton (Québec) Canada
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