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Cardinal Ouellet: nous pouvons baisser le taux d'avortement au Québec et au Canada de 50% sans pénalisation

L’essentiel du message du Cardinal Ouellet aujourd’hui est le suivant : 25-30,000 avortements par année au Québec c’est trop. Il y a beaucoup de gens, même plusieurs qui sont pour le « libre choix » en matière d’avortement, qui veulent voir ce chiffre diminuer. Le Cardinal fait le pari que nous pouvons, comme société, s’il y avait une volonté de travailler ensemble et de cesser de débattre inutilement et stérilement, baisser le taux d’avortement par 50 %, en mettant en place des programmes pour aider aux familles et aux femmes faisant face à des grossesses imprévues (moi j’ai estimé que cette diminution, même sans pénalisation de l’avortement, pourrait même frôler le 90 % de diminution — lire ici).

Je mettrais ma main au feu pour dire qu’il y a une importante pluralité, et sinon une majorité de québécois qui aimeraient voir diminuer le nombre d’avortements, qui constatent que l’avortement, geste énorme aux conséquences multiples, a été banalisé, et qu’il faudrait diminuer ce nombre d’avortements qui est présentement rendu à 30 000 (la population de la ville de Val-d’Or) par année. Comme faire? Voilà la question. 

Le Cardinal croit qu’il n’y a pas présentement de volonté politique pour légiférer. Je crois qu’il a raison, malheureusement. Donc comment avancer? Comme l’a dit le Cardinal : « la voie de la compassion est toujours ouverte. » Donc mettons-nous d’accord sur des moyens de venir en aide, de façon concrète, aux femmes et aux familles en difficulté. 

Améliorons : 

1) L’éducation sur les séquelles physiques et psychologiques de l’avortement.

2) Les programmes gouvernementaux et communautaires d’aide aux femmes en difficulté : pour que les travailleurs sociaux et autres aux CLSC et les DPJ et autres instances gouvernementales, pour que les paroisses et les églises aussi, donnent aux femmes et aux familles en difficulté de vrais choix. Un avortement ou un enfant dans la pauvreté sans logement, ce n’est pas un choix.

3) L’éducation sexuelle aux écoles et dans les paroisses et dans les familles. Aidons surtout les parents à éduquer leurs enfants en matière de sexualité. L’école ne peut pas tout faire.

4) Le recours à l’adoption. Il existe plusieurs options, même l’adoption ouverte où la mère biologique peut, si elle veut, entretenir des liens avec son enfant. (Voir ici pour un guide pour les parents biologiques)

D’autres idées? C’est le temps d’en parler. Comme on a dit : « le débat est ouvert »!

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