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Le Canada organise un Rosaire «D'un océan à l'autre» le 7 octobre pour la vie, et la famille

Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie — Source des photos du montage : Tango7174 et Jonathan.s.kt/Wikimedia Commons et csi.or.at

Le 14 septembre 2018 (LifeSiteNews) — Le Canada suit l'exemple de la Pologne, de l'Irlande, du Royaume-Uni et des États-Unis, il tiendra un rosaire de sa côte est à sa côte ouest, le 7 octobre.

L'événement est organisé par Children of the Eucharist Canada en collaboration avec le P. Richard Heilman, l'une des forces motrices du rosaire d'une côte à l'autre des États-Unis.

«Nous invitons les catholiques de tout le pays à prier ensemble pour appeler Dieu par la puissante intercession de Notre-Dame du Rosaire à guérir notre pays et à le rendre à la sainteté», proclame le groupe Rosary Coast to Coast sur son site internet.

Les Canadiens sont dans une «guerre» où les «puissances des ténèbres» s'attaquent à la vie, au mariage et à la famille [...]

«Marie est la plus grande médiatrice de l'humanité», dit un prêtre dans une vidéo promotionnelle qui met en vedette de nombreux défenseurs canadiens bien connus du caractère sacré de la vie et de la famille.

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L'Irlande renverse toutes les mesures de protection de l'enfant à naître, avortement gratuit en vue

Par Micaiah Bilger (lifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Les enfants à naître n'ont plus aucun droit ni aucune protection en Irlande, le président Michael D. Higgins a signé mardi une modification visant à abroger le Huitième amendement.

En mai, l'Irlande a voté en faveur de l'abrogation du Huitième amendement, qui reconnaissait l'enfant à naître comme être humain important et interdisait l'avortement [jusqu'à un certain point]. Cependant, des recours en justice ont retardé la signature et le dirigeant du pays n'a pu l'apposer que récemment aux documents nécessaires pour abroger officiellement le Huitième amendement de la Constitution, selon le Daily Mail. [Le président à aussi signé le Trente-sixième amendement qui permet d'avorter l'enfant à naître.]

l'organisme Pro Life Campaign a déploré la nouvelle survenue mardi [...]

«Aujourd'hui est un jour pour se souvenir de toutes les vies que le Huitième amendement à sauvées et de toutes les personnes qui sont encore en vie aujourd'hui grâce à lui », a déclaré le porte-parole Dr Ruth Cullen. «Mais c'est aussi un triste jour [...] car une disposition vitale de la Constitution qui sauvait des vies a été supprimée.»

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Les groupes de pressions LGBT se dressent contre le référendum visant à définir le mariage en Roumanie

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Par Olivier Bault (Réinformation.TV)

L’internationale homosexualiste s’active, depuis le vote du Sénat roumain le 11 septembre, contre le référendum qui souhaite inscrire le mariage vrai dans la constitution (107 voix pour, 13 contre) demandé en 2016 par plus de 3 millions de citoyens, dans une Roumanie qui compte à peine 20 millions d’habitants. Lundi, la Cour constitutionnelle a validé le principe d’une consultation populaire sur ce sujet. Malgré le blocage opposé par le président Klaus Iohannis, pourtant classé officiellement à « droite », sous prétexte de ne pas vouloir se plier aux desiderata de « fanatiques religieux », le référendum aura donc finalement bien lieu, sans doute le 7 octobre prochain, et son résultat laisse peu de place au doute : la Coalition pour la Famille qui avait organisé la pétition, soutenue par l’Eglise orthodoxe (largement majoritaire en Roumanie), l’Eglise catholique (et notamment les Grecs-catholiques) et les Eglises protestantes, devrait obtenir l’inscription de la nature du mariage dans la constitution roumaine, comme c’est déjà le cas dans la constitution d’autres pays de l’ex-Europe de l’Est qui cherchent ainsi à se protéger contre les assauts du lobby gay et de ses puissants soutiens internationaux.

La Roumanie n’ayant pas non plus d’union civile pour les duos unisexes, elle a fait l’objet en juin d’un arrêt de la Cour de Justice de l’UE qui lui impose (de même qu’à tous les Etats membres de l’UE) de reconnaître les effets juridiques, en termes de droits de résidence du « conjoint » non citoyen d’un pays de l’UE, les effets juridiques d’un « mariage » entre personnes de même sexe contracté à l’étranger. Cet arrêt a donné une impulsion supplémentaire à l’organisation d’un référendum pour protéger le mariage et la famille dans la constitution du pays.

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Euthanasie et prélèvement d’organes

Blog D'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source de la photo : el Expresso de Campeche via CC Search

Deux médecins canadiens réclament le pouvoir d’euthanasier les patients en prélevant leurs organes, la loi ne le permettant pas. Ceci constitue une nouvelle tentative pour rendre l’euthanasie plus utilitaire qu’il ne l’est déjà. Il faut cependant remarquer que le prélèvement d’organes vitaux est contestable sur le plan moral, étant donné que celui-ci se pratique quand la personne est dite en état de « mort cérébrale ». Or, des gens se sont déjà réveillés de cet état…

Extrait du site Gènétique :

Les médecins canadiens demandent que la loi soit modifiée pour permettre l’euthanasie avec don d’organes.

Le protocole canadien de don d’organes exige aujourd’hui d’attendre plusieurs minutes après l’arrêt de la circulation sanguine avant de prélever les organes. De longues minutes pendant lesquelles « la qualité des organes diminue ». Alors que, d’après deux médecins de l’Ontario et Robert Truog, bioéthicien à Harvard Medical School,« s'ils étaient retirés lors d'une opération coordonnée sur un patient euthanasié, ils seraient aussi frais que possible »…

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Il est temps d'en finir avec l'euthanasie

Blog D'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Il est vraiment temps d'en finir avec l'euthanasie qui demeure immorale dans tous les cas.

Extrait du site Forbes :

En 2002, la Belgique a légalisé l'acte meurtrier et effrayant de l'euthanasie, en vertu duquel des médecins et des infirmières tuent des patients avec leur consentement présumé. Les Pays-Bas avaient officiellement fait de même l'année précédente. Cette pratique, qui rappelle trop bien ce que l'Allemagne nazie faisait avant la Seconde Guerre mondiale aux handicapés mentaux et aux personnes souffrant de handicaps très graves, se justifie aujourd'hui non pas par les théories hitlériennes de «purification de la race», bien sûr, mais sous forme de traitement «humain» envers ceux souffrant de maladies mortelles et de douleur extrême.

Des milliers de patients ont été éliminés depuis que les Pays-Bas et la Belgique ont promulgué ces lois moralement répugnantes. La Belgique autorise maintenant l'euthanasie même pour les enfants, reconnaissant récemment qu'entre le 1er janvier 2016 et le 31 décembre 2017, deux enfants, âgés de 9 et 11 ans, respectivement atteints d'une tumeur cérébrale et de la fibrose kystique ainsi qu'un adolescent de 17 ans, qui avait la dystrophie musculaire de Duchenne, ont été mis à mort. Les défenseurs de l'acte disent que ces enfants ont donné leur consentement, tout comme leurs parents. Bon Dieu ! Faut-il croire que les jeunes doivent prendre de telles décisions ?

Les Pays-Bas ont été frappés par des scandales dans lesquels des patients ont reçu des injections mortelles sans leur consentement, afin de libérer des lits d'hôpital «nécessaires»...

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La théorie du genre fait des ravages

Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Source de la photo : Pixabay

La population infantile britannique vit une véritable « désorientation ». En Grande-Bretagne la « théorie du genre » se retrouve sur le banc des accusés !

L’introduction de cette « discipline » idéologique dans l’éducation scolaire est considérée la cause principale de cette inquiétante augmentation de jeunes enfants demandant à « changer de sexe » ces dernières années. C’est le constat qu’a du faire le gouvernement de Teresa May devant cette crise de l’identité sexuelle.

Depuis 2006, imposée par les courants « progressistes », que l’on peut qualifier plus proprement de nihilistes, l’idéologie incriminée est au programme des écoles primaires et secondaires.

Le ministre de la Santé, dans un récent rapport, confirme que le nombre de mineurs ayant l’intention de changer de sexe a fait un bond de 4400 % depuis 2007. Le service de santé britannique précise que ces demandes ont été repoussées par les directions sanitaires. Les enfants, souvent âgés de moins de 10 ans, ont été diagnostiqués comme sujets à de simples « troubles mentaux ». Il leur a été prescrit des traitements psychiatriques et des médicaments anti-schizophrénie.

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Éducation sexuelle : L’expérience à l’école primaire de Jules-Verne est-elle réellement positive ?

Par Solange Lefebvre-Pageau — Ce texte est une réponse à l’article L’expérience positive de l’école Jules-Verne, dont l’auteure est Magdaline Boutros, Le Devoir, 12 septembre 2018. — Source de la photo : Radio-Londre

Suffit-il de reconnaître que les enseignants de l’école primaire Jules-Verne de l’île de Montréal étaient à l’aise avec le contenu du nouveau programme d’éducation à la sexualité et motivés à l’offrir aux élèves, et que les enfants étaient très réceptifs aux enseignements prodigués, pour affirmer que l’expérience de cette école fut positive ?

Permettez-moi d’en douter, moi qui, depuis nombre d’années, ai développé une alternative à l’éducation à la sexualité en milieu scolaire qui a pour nom :

L'éducation de nos enfants et de nos jeunes
à l'intégration de l'amour et de la sexualité.

C’est une éducation fondamentale qui permet à l’être humain de développer la structure interne qui le rendra capable d’assumer son être sexué, de grandir en sagesse et de s’épanouir harmonieusement en s’aimant et en aimant autrui.

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Un juge des Etats-Unis méconnaît le droit d’une agence d’adoption catholique de refuser un couple d’adoptants homosexuels

Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)

C’est une décision qui fera date aux Etats-Unis, et qui marque une nouvelle régression des droits des institutions catholiques face à la déferlante LGBT. Le juge fédéral américain Paul D. Borman a décidé vendredi dans le Michigan de rejeter la demande d’une agence d’adoption catholique, la St. Vincent Catholic Charities de Lansing, et de déclarer recevable la plainte de la très gauchiste ACLU visant son refus de choisir des couples d’adoptants homosexuels. En permettant à l’affaire judiciaire de ce poursuivre, le juge fédéral a adopté une position aux répercussions considérables, puisque ce sont toutes les associations religieuses des Etats-Unis qui risquent d’en subir les conséquences

L’affaire concerne très précisément les associations caritatives recevant des subventions publiques, et porte sur le fait de savoir si elles peuvent continuer de les percevoir si elles rejettent – pour des raisons religieuses, ou de conscience – les couples demandeurs de même sexe. L’affaire Dumont v. Lyon est l’une des toutes premières à passer devant un juge et à ce titre, focalise l’attention de tous ceux qui veulent savoir dans quelle direction s’affirmera la jurisprudence en la matière.

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Un médecin catholique : « Pourquoi je ne pratique pas l’euthanasie »

Blog D'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Voici un texte remarquable de Catherine Dopchie, Française, oncologue et responsable d'une unité hospitalière de soins intensifs, qui explique pourquoi elle n'exécuterait pas d'euthanasie.

Extrait d'un article de La Libre.be :

Médecin catholique pratiquante, je souhaite rester proche de celui qui souffre, habitée d’espérance malgré ce que cela coûte et malgré la tentation de l’euthanasie, de cette maîtrise à tout prix.

Celui qui souffre et n’en peut plus malgré l’expertise de nos interventions et la qualité sincère de notre accompagnement m’interpelle très profondément. La souffrance psycho-spirituelle du « non-sens », désormais à l’origine de la plupart des demandes d’euthanasie, ne s’adresse pas à l’art médical au sens strict. Pourtant ce cri m’atteint, la compassion douloureuse me saisit souvent. L’impuissance me convoque à demeurer, à chercher à m’améliorer, mais ne me contraint pas à trouver une réponse dans la maîtrise à tout prix. Rester proche, habitée d’espérance malgré ce que cela coûte et malgré la tentation de l’euthanasie, voilà ma position.

Invitation au lâcher prise

La souffrance et la mort gardent leur part de mystère et m’invitent au lâcher prise pour laisser place à plus grand que moi. C’est un choix que je pose dans la confiance, comme Jacob dont la hanche douloureuse lui rappelle de s’appuyer sur Dieu. Etre à l’écoute, entendre avec le cœur, partager les émotions, ne veut pas dire avoir réponse à tout. Ne pas avoir de réponse ne veut pas dire que l’on n’écoute pas la supplique. La fraternité permet parfois au souffrant de voir éclore en lui une lumière nouvelle, car dans ces détresses, la solution naît de l’intérieur, elle ne s’impose pas de l’extérieur. Caroline Valentiny, sortie d’une pathologie psychiatrique grave, en témoigne : « L’expérience de quelque chose au-delà de moi qui m’a réveillée à la vie. » La paix de la « bonne mort » judéo-chrétienne est fruit d’une unité intérieure, d’une harmonie entre le cœur profond et le plan de Dieu, même si la mort est violente comme celle du Crucifié. Elle ne peut devenir un cliché vidé de sens, mort « douce » provoquée de celui qui souffre. Les réalités vécues nous apprennent la solidarité avec le plus fragile, et nous recréent, plus aiguisés pour l’Amour...

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Le Québec et le Canada ont besoin de Dieu


Source: Shutterstock

Il y a 60 ans, le Québec par ses élites a rejeté le christianisme. S’est ensuivi un tsunami d’avortements (moins de 1000 par an en 1971, aujourd’hui, 30 000 par an), de divorces (pour chaque 100 mariages dans une année, 50 divorces) et de lois douteuses (p. ex. mariage « gai » en 2005, euthanasie en 2016). Finalement, une forte immigration, rendue nécessaire par le faible taux de reproduction (avortement, stérilisation, contraception), risque aujourd’hui de rayer de la carte les peuples fondateurs du Canada ainsi que d’introduire dans notre société des pratiques et croyances des plus nocives (p. ex. l’Islam).

Drogués par leurs écrans lumineux ainsi que par l’amour du confort et du sexe, les Québécois et Canadiens semblent pour la plupart incapables de se secouer de leur torpeur. Et les médias subventionnés et oligarchiques pèsent sur les consciences comme une chape de plomb, rendant quasiment impossible une pensée saine et originale. Devons-nous nous résigner à une disparition tranquille ?

Jamais. Un changement est possible. Mais il faut vouloir un vrai changement. Vouloir quoi ? Nous devons vouloir Dieu dans notre vie, y compris dans la politique.

Viktor Orban et la « démocratie chrétienne »

Tournons-nous vers un autre peuple jadis opprimé, le peuple hongrois, qui a su, avec la grâce de Dieu, se libérer de son état d’esclavage mental et spirituel pour devenir un modèle pour l’Europe et pour le monde.

Les Hongrois, aujourd’hui un peuple fier de 10 millions d’âmes, gémissaient sous la botte du communisme dès la fin de la 2e guerre mondiale. Ils avaient plus que les médias de masse tordus qui pesaient sur eux : ils souffraient du joug du tyran Stalin et de ses successeurs. En bref, la Hongrie était victime de l’athéisme total, imposé à tous les niveaux, spécialement en politique.

En 1989, l’URSS s’effondra et la Hongrie se trouva libre. Par contre, ce pays risquait de tomber dans un mal plus grand, celui de se vouer à l’argent et au confort, comme le font tant de pays occidentaux.

C’est pourquoi en 2010 le peuple hongrois s’est doté d’un chef, Viktor Orban, et d’une Loi fondamentale (une constitution), pour le protéger des dérives. Les Hongrois ne voulaient être ni communistes, ni libéraux (c’est à dire indifférents au bien et à Dieu), mais chrétiens !

Lisons une petite partie de cette « Loi fondamentale », et voyons si nous, Québécois et Canadiens, pouvons en tirer quelque chose.

Loi fondamentale de la Hongrie le 25 avril 2011 :
Bénis les Hongrois, ô Seigneur!
PROFESSION DE FOI NATIONALE
NOUS, MEMBRES DE LA NATION HONGROISE, à l’aube de ce nouveau millénaire, déclarons avec responsabilité pour tous les Hongrois ce qui suit : nous sommes fiers que notre roi Saint Étienne ait placé l’État hongrois sur des fondations solides en faisant entrer notre patrie dans l’Europe chrétienne. Nous sommes fiers de nos ancêtres qui se sont battus pour la survie, la liberté et la souveraineté de notre nation. Nous sommes fiers des remarquables créations intellectuelles des Hongrois. Nous sommes fiers que notre peuple se soit battu pendant des siècles pour défendre l’Europe, contribuant aux valeurs communes de celle-ci par son talent et son assiduité. Nous reconnaissons la vertu unificatrice de la chrétienté pour notre nation. (…)
La dignité humaine est inviolable. Toute personne a droit à la vie et à la dignité humaine ; la vie du foetus doit être protégée dès sa conception.

Voilà une Constitution digne de ce nom; voilà un peuple engagé sur la bonne voie !

Depuis 2010, fidèle à sa Loi fondamentale, la Hongrie a valorisé son patrimoine chrétien, implanté des politiques familiales et a fermé ses frontières à des migrations abusives, et voilà le résultat : 

  • La quantité d’avortements a diminué de plus d’un tiers de ce qu’ils étaient en 2010 (40 449 à 28 500).
  • Le nombre de divorces est nettement réduit (23 873 en 2010 à 18 600 en 2017) et…
  • Le nombre de mariages a augmenté (35 520 en 2010 et 50 600 en 2017).

Encore une fois, nous voyons là un pays engagé sur la bonne voie !

La clé : une société ni libérale, ni athée, mais chrétienne

Quelle est la leçon à retenir ? Viktor Orban, premier ministre de la Hongrie, résume mieux que quiconque cette leçon, par les paroles suivantes qu’il a prononcées le 28 juillet 2018 : 

« Proclamons avec confiance que la démocratie chrétienne n’est pas libérale. [...] La démocratie libérale est favorable au multiculturalisme, tandis que la démocratie chrétienne donne la priorité à la culture chrétienne... »

Et il continua :

« Bien que nous puissions sembler être une minorité, nous sommes nombreux, en Europe, à avoir comme but commun de construire l’Europe une fois de plus sur les fondations solides du christianisme... La Hongrie suit cette voie depuis 2010. »

Au Québec et au Canada, nous pouvons sembler être une minorité de croyants, mais cette minorité agissante peut devenir un mouvement pour la reconstruction d’un Québec et d’un Canada sur les fondations solides du christianisme... 

... Et Campagne Québec-Vie se veut la bougie d’allumage pour lancer un tel mouvement. Mais nous avons besoin de votre appui.

Dans les semaines, les mois et les années à venir, ce sera notre message : Dieu doit régner à tous les niveaux, y compris la politique.

Vôtre pour la Vie,

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Georges Buscemi, Président

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