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Sécularisation du Québec : Qui risque de prendre possession de l’abbaye d'Oka ?


Abbaye d'Oka.

Les moines de Bellefontaine qui ont fondé l'abbaye d'Oka, avaient été expulsés de leur monastère de France lors des mesures anticléricales de la IIIe République en 1880. —NDLR

Par Paul-André Deschesnes

En 1881, huit moines français de l’abbaye Bellefontaine sont envoyés au Québec pour fonder un nouveau monastère selon l’ordre cistercien de la stricte observance.

Ces braves moines trappistes s’installèrent à Oka, un splendide petit village sur les bords du magnifique lac des Deux Montagnes. L’emplacement fut baptisé « Abbaye Notre-Dame-du-Lac ». Un incroyable cadeau du ciel !

Pendant plusieurs décennies l’abbaye d’Oka a été un des plus importants centres de spiritualité au Québec. À un moment donné, à la fin des années 1950, le nombre de religieux se chiffrait à près de deux cents. Les vocations étaient très nombreuses. Les moines vivaient de façon autonome dans le travail manuel, intellectuel et dans la prière. On affluait de partout pour aller se recueillir pendant quelques jours et prier dans le silence avec ces sentinelles de Dieu.

Au début des années 1960, ce fut le commencement de la « Révolution tranquille » qui s’est abattue sur le Québec comme un véritable tsunami. En même temps, le Concile Vatican II était suivi d'une autre révolution au sein de l’Église catholique. Alors, les paroisses, les monastères, les congrégations religieuses et tous les mouvements catholiques vécurent une débandade historique, pendant que le nombre de vocations tombait à près de zéro.

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Des parents protestent contre le cours d’éducation sexuelle

Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Sources de l’article : Le Journal de Montréal, Sex Ed Sit Out n°1, n°2, n°3, n°4, The Star, OMS (p. 4) et UNESCO (pp. 34, 35, 40, 50 et 70)/Source de la photo : jill111, CC0

Ils ont retiré leurs enfants de leur école pour une journée. Ils dénoncent une tentative pour les « endoctriner ».

Lundi, des dizaines de parents de la région de Montréal ont participé au mouvement « Sex Ed Sit Out », qui vise à dénoncer les cours d’éducation sexuelle. Pour cela, ils ont retiré leurs enfants de leur école pour une journée et certains ont envoyé une lettre aux directions pour expliquer leur geste.

Le mouvement « Sex Ed Sit Out » regroupe des parents du Canada, des États-Unis ainsi que de l’Australie. Il reproche aux cours d’éducation sexuelle d’« endoctriner » les enfants avec une idéologie qui est promue par les « grandes compagnies » et les « activistes radicaux ». En outre, il déplore que les écoles ne soient pas toujours transparentes au sujet du contenu de ces cours.

Le responsable des relations de presse du ministère de l’Éducation, Bryan St-Louis, a prétendu que de telles affirmations étaient infondées. Il est pourtant vrai qu’on ignore ce qui sera enseigné exactement dès septembre prochain. M. St-Louis a néanmoins précisé que les cours d’éducation sexuelle seront basés sur, entre autres, les recommandations de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

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Les recours des parents d’Alfie Evans rejetés par la cour d’appel de Londres : il est dans son « intérêt bien compris » de mourir


Alfie Evans.

Par Jeanne Smits (leblogdejeannesmits)

Ecœurant. La décision de la cour d’appel de Londres de rejeter les recours de Tom Evans et de Kate James en affirmant que rien ne permet de dire que le juge de Manchester, Justice Anthony Paul Hayden n'avait pas eu en tous points raison d’empêcher les parents d’Alfie Evans d’essayer de le faire soigner à Rome ou à Munich relève à la fois de l’horreur, de la torture et du mensonge. C’est toujours la même histoire : Alfie, dont le cerveau a subi des dommages « irréversibles » selon les médecins et les juges, ne doit plus recevoir autre chose que des « soins palliatifs » par ce qu’il est dans son intérêt « bien compris » de mourir.

Ce juge Hayden qui a noté dans son jugement du 20 février dernier que Tom Evans s’est « entiché » (ou « obnubilé » : besotted) de son petit garçon…

Ecœurant parce que ce sont les autorités judiciaires qui ont sollicité les pauvres parents, qui depuis lundi soir se battent aux côtés de leur petit « guerrier », entourés de forces de l’ordre, surveillés, fouillés chaque fois qu’ils reviennent dans la chambre de leur enfant, en leur expliquant que trois juges se tenaient prêts pour eux.

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Un quart des enfants placés en famille d’accueil par le Barnevernet ne sont pas suivis

Par Olivier Bault (reinformation.tv)

Le système d’assistance sociale de la Norvège fait l’objet d’un nouveau scandale après les révélations du journal norvégien Verdens Gang sur l’absence de suivi des enfants placés en famille d’accueil par l’office de « protection » des droits des enfants (Barnevernet). Alors qu’il est déjà reproché au Barnevernet de retirer trop souvent sans raison valable des enfants à leurs parents biologiques et que la pression internationale s’intensifie pour que la Norvège mette fin à sa dérive totalitaire dans ce domaine, les journalistes d’investigation de Verdens Gang ont révélé qu’un quart des enfants placés de force en famille d’accueil ne bénéficiaient pas ensuite du suivi prévu par la loi norvégienne. Environ 2 100 enfants sont donc concernés.

Quand le Barnevernet confie à des pédophiles les enfants confisqués à leurs parents

Ce sont les municipalités qui, en Norvège, sont tenues d’exercer un contrôle sur les familles d’accueil avec au minimum quatre visites par an. L’enquête du journal norvégien a montré qu’au moins 242 municipalités ne s’acquittaient pas de leurs obligations en la matière. Dans 71 d’entre elles, ce sont plus de la moitié des enfants placés en famille d’accueil qui ne sont pas suivis. L’été dernier, un homme du comté de Møre og Romsdal qui faisait office de famille d’accueil a été condamné en appel à six ans et six mois de réclusion pour viols et agressions sexuelles aggravés sur une mineure qui lui avait été confiée par le Barnevernet. L’enfant avait dû subir les sévices de ce pédophile pendant 3 ans, de l’âge de 12 ans à l’âge de 15 ans.

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Alfie Evans est maintenant nourri. La Cour d'appel entendra les parents au sujet d'emmener l'enfant en Italie


Alfie Evans dans les bras de sa mère après avoir été débranché de son aide respiratoire, le 24 avril 2018. — Source : Facebook

Par Diane Montagna — traduit par Campagne Québec-Vie

ROME, 25 avril 2018 (LifeSiteNews) — Les parents d’Alfie Evans vont aujourd’hui contester une décision d’une Haute Cour qui les empêche d’emmener leur fils en Italie pour lui fournir d’autres soins.

Un porte-parole du Christian Legal Centre (le groupe d’avocats représentant la famille) a déclaré que la Cour d’appel avait accepté de tenir une audience cet après-midi à 14 heures pour savoir si les parents Thomas Evans et Kate James peuvent transporter leur fils à l’étranger pour qu’il reçoive un traitement.

Mardi soir, le juge Anthony Hayden a décidé que les parents ne pouvaient pas emmener leur enfant en Italie et a qualifié sa décision de « dernier chapitre dans le cas de ce petit garçon extraordinaire ».

Mais en parlant devant l’hôpital Alder Hey de Liverpool ce matin, Thomas Evans a déclaré que la Cour d’appel les avait contactés hier soir après la décision du juge Hayden. Ils ont parlé avec M. Diamond [l’avocat des parents] et ont dit qu’ils étaient prêts à recevoir leur appel. D’après le britannique The Morning.

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Une famille accueille ses sextuplés après avoir refusé l’avortement sélectif


Les six frères et sœurs : Blu, Tag, Layke, Rivers, Rayne et Rawlings.

Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Le 11 décembre 2017, Courtney Waldrop et son mari Eric ont accueilli six nouveaux bébés dans leur famille composée de cinq membres. Le couple, qui a avoué à People d’avoir toujours voulu une grande famille, était ravi d’ajouter trois bébés filles et trois bébés garçons — Rivers, Rayne, Rawlings, Blu, Tag et Layke — à leur famille existante, mais ils étaient aussi nerveux. Les sextuplés sont nés avant 30 semaines de grossesse et risquaient de nombreuses complications. Pourtant, le couple a choisi la vie pour tous leurs enfants, et ce, malgré les dangers.

« J’étais morte de peur », a confié Waldrop à People. « Je suis une petite fille fragile, et mes premières pensées étaient de savoir comment j’allais réussir à mettre au monde ces six enfants sans que ma vie ou leur vie soit à risque. J’éprouvais beaucoup de crainte. Nous ne savions pas quoi faire ou penser. »

Les Waldrops sont maintenant une famille de neuf enfants. Droits d’auteur sur la photo : Ashley Sargent Photography, LLC

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Alfie Evans a été débranché de son respirateur, mais il a survécu


Alfie Evans.

Par Jeanne Smits (reinformation.tvleblogdejeannesmits) — tout le texte provient de reinformation.tv à part un paragraphe qui provient de leblogdejeannesmits. — NDLR

Débranché à 22 h 17 heure française lundi soir, le petit Alfie Evans a déjà survécu plus de 18 heures sans être ventilé. Son père a dû parlementer 40 minutes avec les médecins de l’hôpital pédiatrique Alder Hey de Liverpool pour obtenir qu’on lui administre de l’eau et de l’oxygène [mais pas l'assistance respiratoire — NDLR] au bout de six heures d’efforts de son fils pour vivre sans aucune assistance. A l’heure d’écrire, la famille Evans était de nouveau devant la justice, devant le même juge Hayden qui a déjà pris des décisions de mort pour Alfie. Mais pendant ce temps, un groupe de médecins britanniques a vivement condamné la manière dont on traite le petit garçon et dont on empêche ses parents de l’emmener en Italie (...)[leblogdejeannesmits]

(...) Le petit Alfie Evans, 23 mois, devait être précipité vers la mort ce lundi 23 avril, fête de la saint Georges qui est le saint patron de l’Angleterre. Mais il a gagné un sursis. Son exécution a été retardée. Son père Tom vient de déclarer dans une vidéo en direct sur Facebook, puis devant la foule de manifestants massée devant son hôpital, qu’Alfie vient de se voir attribuer la nationalité italienne ; l’ambassadeur d’Italie au Royaume-Uni veut entrer en discussions et au besoin aller devant les juridictions britanniques pour obtenir le transfert d’Alfie vers Rome, où la clinique vaticane du Bambino Gesu est prête à l’accueillir pour voir s’il est possible de diagnostiquer son mal, et de le soigner. Les parents d’Alfie, ils l’ont dit et répété, ne veulent pas d’acharnement thérapeutique pour leur fils. Ils veulent qu’il soit accompagné le mieux possible ; qu’il vive entouré d’amour, et qu’il meure, si cela est inévitable, paisiblement, au terme du temps qui lui sera donné et d’une mort naturelle. Dans sa dernière apparition publique en date, Tom Evans a indiqué que l’Italie poursuivra quiconque débranchera son fils. Et il a interpellé la reine Elizabeth : « Quand avez-vous légalisé l’euthanasie ? »

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Savez-vous quand les ondes cérébrales d’un enfant à naître peuvent être détectées ? La réponse pourrait vous surprendre

Par Maria Gallagher (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Quand j'étudiai en journalisme, on m’a appris à ne jamais supposer. Pourtant, comme journaliste-radio, lorsque je parlais de la question de l’avortement, je supposais que mes auditeurs connaissaient les bases de l’avortement.

L’ironie, c’est que je n’avais pas moi-même de connaissances fondamentales sur l'avortement — autrement dit, ce qu’il faisait à un enfant à naître et les effets qu'il pouvait avoir sur une mère en matière de séquelles émotionnelles et psychologiques.

Je veux dire par là que, pendant longtemps, je ne savais pas que l’avortement arrête un cœur battant. Je ne savais pas que seulement 24 jours après la conception, le cœur du bébé bat.

Je me demande maintenant combien de journalistes dans les salles de rédaction de toute l’Amérique connaissent ce fait important au sujet du développement d’un enfant à naître.

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Une victoire obtenue pour Vincent Lambert : il sera examiné par des spécialistes et non euthanasié


Vincent Lambert.

Par Jeanne Smits (reinformation.tv)

Ce n’est pas un sursis qu’a obtenu Vincent Lambert avec la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, vendredi : c’est une victoire à part entière et un désaveu des morticoles. En ordonnant qu’il soit examiné par des experts — et pas seulement des neurologues, mais aussi en médecine physique et de réadaptation — le juge des référés a reconnu que les éléments, invoqués par le Dr Sanchez pour mettre fin à son hydratation et à son alimentation pour qu’il meure, sont pour le moins insuffisants. Pour Viviane Lambert, la mère de Vincent qui se confie dans cet entretien exclusif après cette victoire, c’est à la fois un soulagement — puisque sans ce recours, l’arrêt des soins aurait déjà eu lieu — et une justification de tous les efforts inlassables qu’elle a déployés, avec son mari, certains membres de leur famille, les avocats, le comité « Je soutiens Vincent » et ses près de 100 000 signatures pour faire reconnaître que son fils est handicapé et qu’il n’est pas en fin de vie.

Un entretien exclusif avec RITV après l’annonce de la victoire

Une nouvelle fois, elle a bien voulu répondre aux questions de reinformation.tv, quelques heures à peine après avoir reçu la bonne nouvelle, quelques minutes après être sortie de la chambre d’hôpital de Vincent : enfin, on tient compte de ce que disent les partisans du respect de la vie de Vincent, enfin, un juge a reconnu qu’on ne peut pas le considérer comme un « légume », comme déjà mort en quelque sorte, mais qu’il faut faire droit aux demandes de ceux qui l’accompagnent tous les jours et constatent avec lui une vraie interaction.

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Les Québécois ont très peu d'enfants

Par Le Peuple — Sources de l’article : ISQ n˚ 1 (pp. 1, 2, 4) et n˚ 2/Source de la photo : Greyerbaby, CC0

L’indice de fécondité a été de 1,54 enfant par femme en 2017. 63 % des enfants sont issus de parents non mariés.

Les Québécois ne se reproduisent pas beaucoup. En effet, selon les nouvelles données publiées par l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), l’indice synthétique de fécondité au Québec a été de 1,54 enfant par femme en 2017. Il s’agit d’un recul par rapport à 2016, où le taux de fécondité était de 1,59.

Si l’indice n’a pas atteint le creux de 2000 (1,45) ou de 1987 (1,36), il demeure largement inférieur à 2,1, qui permet le renouvellement de la population. C’est en 1969 que ce seuil minimal fut atteint pour une dernière fois alors qu’une femme avait 2,2 enfants. À titre comparatif, en 1951, une femme avait 3,8 enfants.

L’ISQ note qu’en 2017, 63 % des enfants sont issus de parents non mariés. Il nous révèle aussi que 32 % des enfants ont au moins un parent qui est né à l’étranger ; pour 21 % d’entre eux, c’est leurs deux parents qui ne sont pas nés au Québec.

Rappelons que lors de son conseil général en novembre, la Coalition Avenir Québec (CAQ) avait mis de l’avant des propositions en matière de politique nataliste. Parmi celles-ci figurent la bonification des allocations familiales, une aide pour le recours à la procréation assistée ainsi que du soutien pour les couples qui veulent adopter un enfant. Le parti propose aussi d’échelonner le congé parental sur une période de 18 mois, au lieu des 12 mois actuels.

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