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Une nouvelle enquête révèle comment des sites internet vendent illégalement des pilules abortives dans les États où elles sont interdites

Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixel-Shot/Adobe Stock

3 avril 2024 (LifeSiteNews) — Une enquête récemment publiée a détaillé comment des dizaines de sites internet expédient des pilules abortives dans des États où le meurtre d’enfants à naître est illégal, sans exiger d’ordonnance ou de vérification de l’âge.

Aucun de ces fournisseurs de produits abortifs ne semble faire l’objet de poursuites judiciaires a constaté le Daily Wire, malgré le fait que la loi américaine continue d’exiger que les fournisseurs de pilules abortives vérifient les ordonnances et malgré l’infraction des lois des États qui interdisent presque totalement les avortements.

En fait, des médias tels que Ms. Magazine ont ouvertement loué ces fournisseurs de pilules abortives pour avoir permis aux femmes d’avorter leurs enfants à naître dans les États où cela est illégal, et pour ne pas avoir exigé de prescription. Depuis que la Food and Drug Administration (FDA) a assoupli les règles de distribution des pilules abortives en 2023, les femmes peuvent obtenir des produits comme la mifépristone par télémédecine sans vérification de leur nombre de semaines de grossesse.

L’institut Guttmacher, favorable à l’avortement, a récemment publié une nouvelle étude selon laquelle 63 % des avortements en 2023 ont été pratiqués à l’aide de la pilule, la pratique progressant constamment depuis 2000, date à laquelle la Food and Drug Administration (FDA) américaine a approuvé pour la première fois la mifépristone pour l’avortement. Étant donné que ces données ne comprennent que les chiffres officiels des établissements de santé, le pourcentage d’avortements pratiqués au moyen de la pilule est probablement beaucoup plus élevé.

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Le gouvernement Trudeau annonce la gratuité des contraceptifs pour les Canadiennes

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : andrei77/Adobe Stock

2 avril 2024, Toronto (LifeSiteNews) — Les contribuables canadiens doivent payer la facture des contraceptifs féminins dans le cadre du nouveau plan de santé du gouvernement Trudeau.

Lors d’une conférence de presse tenue le 30 mars dans une pharmacie de Toronto, la vice-première ministre Chrystia Freeland a annoncé que le gouvernement libéral Trudeau fournirait aux Canadiennes des contraceptifs gratuits dans le cadre de son nouveau plan de santé.

« Notre plan de gratuité des contraceptifs courants — comme les pilules contraceptives et les stérilets, et même la contraception d’urgence — signifiera que, pour neuf millions de Canadiennes, la liberté de choix sera vraiment “gratuite” », a affirmé la politicienne pro-avortement.

Dans le cadre du nouveau plan, les contribuables canadiens devront financer divers types de contraceptifs, notamment jusqu’à 300 dollars par an pour les pilules contraceptives orales, jusqu’à 500 dollars par dispositif intra-utérin (DIU) hormonal, jusqu’à 100 dollars par DIU en cuivre ; jusqu’à 300 dollars par implant hormonal, ce qui comprend jusqu’à 300 dollars par unité, jusqu’à 300 dollars par anneau vaginal hormonal, jusqu’à 150 dollars par an pour les injections contraceptives, et environ 30 dollars par dose de contraceptifs d’urgence tels que le « Plan B », un médicament conçu pour tuer un bébé nouvellement conçu.

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La normalisation du suicide assisté conduira à un « devoir de mourir »

Par Wesley J Smith (Coalition pour la prévention de l’euthanasie, repris du National Review) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lightfield Studios/Adobe Stock

L’euthanasie n’est pas vraiment une question de compassion, mais de peur du déclin et de dégoût de la dépendance — et de ceux qui en font l’expérience.

Cette vérité désagréable est apparue très clairement dans une nouvelle tribune publiée dans le Times de Londres, dans laquelle l’ancien député conservateur Matthew Parris soutient que l’euthanasie et le suicide assisté ne devraient pas seulement être autorisés, mais encouragés. Dans « We Can't Afford a Taboo on Assisted Dying » (Nous ne pouvons pas nous permettre un tabou sur la mort assistée), il écrit (c’est moi qui souligne) :

Je ne peux contester la conviction des opposants qu’une fois que l’aide à mourir sera normalisée, nous serons plus enclins à nous demander pendant combien de temps encore nous pourrons justifier la lutte.

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Un tragique avortement accidentel à Prague révèle l’hypocrisie des médias

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Unsplash

2 avril 2024, Prague (LifeSiteNews) — Le 25 mars, une femme enceinte s’est présentée à l’hôpital universitaire Bulovka de Prague, en République tchèque, pour un examen de routine. Elle était enceinte de quatre mois et ne parlait pas le tchèque. À quatre mois, son futur bébé avait des paupières, des sourcils, des cils et des cheveux, et pouvait sucer son pouce, bâiller, s’étirer et faire des expressions faciales.

Une horrible confusion s’en est suivie. Le personnel médical — qui a depuis été suspendu — l’a confondue avec une autre femme d’origine asiatique qui avait également rendez-vous, mais pour un avortement. La future mère a été placée sous anesthésie et son bébé de quatre mois a été avorté. Lorsqu’elle s’est endormie, elle attendait un bébé ; lorsqu’elle s’est réveillée, son bébé n’était plus là.

Une série d’enquêtes a été ouverte, la police traitant l’affaire comme un cas de préjudice corporel, tandis que l’hôpital est aux prises avec les différents niveaux d’erreur — les médecins, les infirmières, le gynécologue et l’anesthésiste n’ont pas remarqué que l’avortement était pratiqué sur la mauvaise femme ; un rapport de l’hôpital indique que la barrière de la langue entre la femme d’origine asiatique et le personnel parlant le tchèque a joué un rôle.

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Voici ce que l’Église catholique enseigne réellement au sujet du « Christ Roi »

Par S.D. Wright — Traduit par Campagne Québec-Vie

28 mars 2024 (LifeSiteNews) — « La multitude a suffisamment entendu parler de ce qu’on appelle les droits de l’homme : qu’elle entende enfin parler des droits de Dieu. » [1]

C’est ce qu’a dit Léon XIII en 1900, et c’est la clé pour comprendre ce que l’Église entend par l’expression « Le Christ est roi ».

Cette déclaration n’est pas une simple platitude spirituelle sur l’au-delà, ni l’établissement d’une théocratie ou le matraquage des autres avec notre religion.

Il s’agit de quelque chose de beaucoup plus vaste.

La fête du Christ-Roi

En 1925, le monde se souvenait encore de la Première Guerre mondiale. Les pays anciennement catholiques poursuivaient leur déclin vers la laïcité. Le gouvernement révolutionnaire mexicain consolidait son contrôle et persécutait l’Église. La République de Weimar autorisait toutes sortes d’immoralités et de décadences.

Quelques années auparavant, le gouvernement maçonnique du Portugal avait persécuté les trois enfants de Fatima.

Regardant autour de lui, le pape Pie XI constate que le monde est en proie au « laïcisme », à « ses erreurs et ses entreprises criminelles (n.18) ». [2]

Il enseigne que la panoplie des maux auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui est due au fait que les hommes ont « chassé Jésus-Christ et sa sainte loi de leur vie », à la fois dans les affaires privées et dans la politique.

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Nous avons dépassé le cap des 1100 signatures: pétition contre le changement de sexe pour enfants

La semaine passée nous vous avons envoyé une pétition à signer, pour interdire la pratique du «changement de sexe» chez les enfants du Québec. Nous avons dépassé le cap des 1100 signatures, mais il faut redoubler d'effort pour rejoindre plus de personnes. Si ce n'est pas déjà fait, merci de signer cette pétition et, également, la partager avec vos connaissances.

Aussi, c'est aujourd'hui la toute DERNIÈRE JOURNÉE de notre campagne de financement pour le printemps, et il nous reste encore 5 086,80$ à recueillir. Je tiens tout d'abord à ceux et celles qui ont donné -- votre générosité nous permet de continuer notre travail ! Pour les autres: avec votre aide, il est plus que possible, même à cette heure tardive, d'atteindre notre but. 

Campagne Québec-Vie c'est: 

  • De l'aide auprès de femmes enceintes en difficulté, par le biais de notre service Enceinte et inquiète;
  • Un service de nouvelles quotidiennes en ligne pro-foi, pro-famille et pro-vie;
  • De la sensibilisation sur les questions de la vie et de la famille par le moyen de colloques et de manifestations telles les 40 jours pour la vie ou la Chaîne de la vie;
  • Une toute première Marche pour la vie à Québec, ce samedi premier juin, 2024;
  • Des interventions médiatiques régulières sur la chaîne Theovox;
  • La publication d'un bulletin mensuel de nouvelles format papier envoyé à plus de mille foyers au Québec;
  • La poursuite en cour du gouvernement Québécois pour ses zones tampon autour des avortoirs du Québec, nous empêchant d'intervenir auprès des femmes enceintes en difficulté;
  • Des veillées de prières et des pèlerinages pro-vie;
  • un travail de terrain politique pour faire élire le plus de personnes pro-vie au différents paliers gouvernementaux

Toutes ces activités requièrent des fonds pour être réalisées. En ce moment, cinq personnes œuvrent à temps plein pour Campagne Québec-Vie et ce, uniquement grâce à vos dons.

Merci de nous aider à continuer à répandre une Culture de Vie au Québec et au Canada.

Finalement, n'oubliez pas de réserver la date pour la Marche pour la vie à Québec:

Pour la Vie !


Georges Buscemi
Président
Campagne Québec-Vie

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Des chercheurs affirment que le taux de mortalité maternelle aux États-Unis a été largement surestimé

Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : DC Studio/Freepik

Une nouvelle étude publiée dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology révèle qu’un simple changement dans la manière de remplir les certificats de décès pourrait avoir entraîné une surestimation du taux de mortalité maternelle aux États-Unis.

En 2003, une case a été ajoutée aux certificats de décès pour demander si la personne décédée était enceinte au moment du décès ou à une date proche ; cela a conduit à une augmentation supposée de 143 % des décès dus à la mortalité maternelle depuis 1999. Mais les chercheurs ont examiné les données du National Center for Health Statistics (NCHS) et ont constaté que les décès dus à la mortalité maternelle étaient en réalité restés relativement stables, avec une augmentation de seulement 2 % au cours de cette période.

« Le fait que certains de ces rapports fassent état d’une multiplication par trois de la mortalité maternelle a suscité beaucoup d’inquiétude et d’appréhension, mais ce n’est pas ce que nous avons constaté. Nous avons trouvé des taux faibles et stables », a déclaré au Washington Post K.S. Joseph, auteur principal de l’étude et professeur aux départements d’obstétrique et de gynécologie et à l’École de santé publique et des populations de l’université de Colombie-Britannique.

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L’Espagne pourrait être la prochaine nation européenne à inscrire l’avortement dans sa constitution

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : standret/Adobe Stock

27 mars 2024 (LifeSiteNews) — Dans le sillage du vote de la France pour inscrire l’avortement comme droit constitutionnel, nous faisons face à l’assaut paneuropéen le plus important contre le droit à la vie des enfants dans l’utérus depuis une génération.

Alors que les taux de natalité chutent et que l’Europe est confrontée à de multiples crises, il y a quelque chose de grotesquement approprié dans la croisade pour l’avortement qui se déroule en ce moment. Les progressistes qui font de l’avortement un droit de l’homme croient défendre les droits de l’homme et la démocratie libérale ; leurs déclarations ressemblent davantage à un râle d’agonie.

En Espagne, le parti de gauche Sumar, partenaire junior du gouvernement de coalition dirigé par les socialistes (PSOE) de Pedro Sánchez, a annoncé qu’il souhaitait suivre l’exemple de la France en inscrivant le fœticide dans la constitution. « La France et ses femmes ont montré que le progrès est possible et nécessaire », a récemment écrit le ministre du Travail, Yolanda Díaz, sur X. « Il est temps de garantir pleinement les droits de toutes les femmes ». La porte-parole de Sumar, Aina Vidal, a abondé dans le même sens, déclarant qu’il était temps d’« avancer » sur la question de l’avortement et qu’ils invitaient « tous les partis politiques avec lesquels nous avons déjà discuté de la question à ouvrir ce débat de société ».

L’Espagne a déjà beaucoup évolué sur cette question au cours des dernières années. Jusqu’en 2010, il était illégal d’avorter, sauf en cas de viol, de malformation du fœtus ou de « risque physique ou psychologique grave pour la mère » ; même ces cas n’ont été dépénalisés qu’en 1985. En 2010, l’avortement sur demande pendant les 14 premières semaines de grossesse a été légalisé. En 2022, le gouvernement espagnol de gauche a criminalisé les discours pro-vie sous prétexte de mettre fin au « harcèlement » des femmes cherchant à se faire avorter.

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Les médias canadiens attaquent une petite ville d’Alberta pour sa « neutralité » à l’égard des drapeaux LGBT

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Trey Musk/Unsplash

20 mars 2024 (LifeSiteNews) — Quelle que soit l’histoire, les médias et le mouvement LGBT voudraient vous faire croire deux choses : premièrement, que chaque histoire concerne en fait le mouvement LGBT, quoi qu’il arrive ; et deuxièmement, que toute personne qui refuse d’approuver activement un programme en constante expansion qui comprend l’élimination des limites autour du comportement sexuel, des relations et des deux sexes est intolérant. Une fois que l’on a compris ce cadre narratif, on peut commencer à interpréter et à comprendre la façon dont les médias couvrent même les petites histoires locales.

Prenons, par exemple, un reportage publié par CTV le mois dernier sur la petite ville albertaine de Westlock, qui compte 5 000 habitants. La ville a récemment organisé un référendum sur la question suivante : « Acceptez-vous que : seuls les drapeaux fédéraux, provinciaux et municipaux puissent flotter sur les mâts des drapeaux sur la propriété municipale de la ville de Westlock ; tous les passages pour piétons de la ville de Westlock doivent avoir le motif standard de bandes blanches entre deux lignes blanches parallèles ; et le passage pour piétons de couleur arc-en-ciel existant dans la ville de Westlock doit être enlevé ».

Une majorité d’habitants de Westlock a voté en faveur de la limitation des drapeaux aux seuls drapeaux officiels du gouvernement ; la marge n’était que de 24 voix, mais le taux de participation était en fait plus élevé que celui de l’élection municipale elle-même. À l’origine, le règlement avait été préconisé dans une pétition lancée en 2023 pour réclamer la « neutralité » dans les espaces publics. L’une des principales organisatrices de la pétition, Stephanie Bakker, a organisé une fête de quartier intitulée « I Don't Agree With You But I Love You Block Party » (Je ne suis pas d’accord avec toi, mais je t’aime) et a écrit ce qui suit :

À nos amis et à notre famille de la communauté de la Fierté... malgré ce que le maire et le conseil municipal ont essayé de vous faire croire, ceux qui ont voté pour le règlement n’ont pas voté contre vous. Vous êtes aimés. Ceux qui ont voté pour la neutralité l’ont fait avec le désir sincère de garder notre communauté entière et inclusive.

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Un juge de Calgary donne tort au père qui s’oppose à l’euthanasie de sa fille autiste

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec — Photo : Daniel Jedzura/Adobe Stock

27 mars 2024, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Un juge de Calgary a statué qu’une jeune femme autiste, qui n'a pas de maladie en phase terminale, peut être mise à mort par euthanasie malgré les objections de son père, affirmant que d’empêcher sa mort pourrait lui causer un « préjudice irréparable ».

Le 25 mars, le juge Colin C.J. Feasby de la Cour du banc du roi de l’Alberta a annulé une injonction demandée par le père de la jeune femme autiste de 27 ans, qui empêchait auparavant qu’elle soit mise à mort dans le cadre du programme canadien d’euthanasie « Aide médicale à mourir » (AMM).

« Je ne vous connais pas et je ne sais pas pourquoi vous demandez l’AMM. Vos raisons restent les vôtres car j’ai respecté votre autonomie et votre vie privée », a écrit le juge Feasby dans sa décision.

« Ma décision reconnaît votre droit de choisir une mort médicalement assistée, mais elle ne vous oblige pas à choisir la mort », a-t-il ajouté.

En raison d’une interdiction de publication, la jeune femme dans cette affaire est identifiée comme MV et son père comme WV.

MV, qui souffre à la fois d’autisme et d’un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH), a été autorisée par deux médecins à bénéficier de l’AMM et prévoyait de mettre fin à ses jours par euthanasie.

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