Sur le blog de Jeanne Smits du 17 novembre 2014 :
(Photo : Steve-©-foto sur flickr.com, licence creative commons)
(...)Dans le viol suivi d'une fécondation, c'est-à-dire là où est conçue une nouvelle vie humaine, il y a deux victimes : la mère (la femme violée) et l'enfant.« Le fruit de cet acte violent est un “enfant innocent” qui a droit à la vie et qui ne porte pas la culpabilité de cette action si brutale. Ce n'est pas “l'enfant innocent” qu'il faut punir en le tuant : il faut poursuivre et châtier le violeur avec tout le poids de la loi. » (...)
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