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Avortement de 3e trimestre à l'hôpital Ste-Justine, le lien internet sur de bouleversantes révélations...

Nous avions publié un article il y a un an sur les avortements effectués au 3e trimestre à l’hôpital Ste-Justine, avec certaines informations bouleversantes tirées du livre : Interruption de grossesse du troisième trimestre pour anomalie fœtale, Avis du Comité de bioéthique du CHU Sainte-Justine, éditions du CHU Ste-Justine, Montréal, 2007, 52 pages.
Plusieurs lecteurs auraient aimé consulter par eux-mêmes les passages cités.
Si le lien ci-dessus fait défaut, nous avons stocké le fichier sur notre serveur.
Voici les pages des extraits problématiques :
-Sur le fait que l’hôpital Ste-Justine fait des avortements de dernier trimestre non seulement pour des raisons eugéniques (anomalies fœtales), mais aussi pour des raisons n’ayant pas de liens avec la santé de l’enfant :
À la page 9 :
 Au CHU Sainte-Justine, le Comité de mortalité foetale et néonatale assure la révision des dossiers concernant les interruptions de grossesse du troisième trimestre. Les données montrent qu’à ce stade, les interruptions ont été pratiquées presque exclusivement pour des raisons médicales. On rapporte également certains motifs différents, par exemple lors d’interruptions qui font référence à des situations « précises » associées à des conditions « sociales » particulières.          
-Sur le fait que la douleur de l’enfant à naître est connue et que, malgré cela, des avortements sont faits sans procurer à l’enfant d’anesthésiants :
À la page 10 :
 Les interruptions de grossesse du troisième trimestre ont lieu à la salle d'accouchement. Elles sont pratiquées sous échographie par un gynéco-obstétricien. On tient compte de la douleur physique de la femme enceinte, même si elle n’est pas propre au troisième trimestre. On pratique une analgésie péridurale. Quant à la souffrance du foetus, la question est très controversée. Avant de réaliser l’IG, on administre au foetus des produits anesthésiques (Fentanyl), afin de soulager sa douleur. Cette pratique contribue à la sérénité du couple, mais aussi à celle de l’équipe soignante. Cependant, notons que tous n’administrent pas de produits anesthésiques.
La procédure d’expulsion du foetus consiste en une injection de chlorure de potassium (KCl) intra-cardiaque ou intra-ombilical provoquant le décès du foetus avant son expulsion. L’opération se déroule comme un accouchement normal, c’est-à-dire avec des contractions et une délivrance par les voies vaginales. Il y a toutefois naissance d’un enfant mort-né. La femme est ensuite conduite dans une unité où on lui offre des soins post-partum, axés sur le deuil.
Récapitulons les faits qu'affirme le comité de bioéthique du CHU. Ce qu’avoue ce petit document en fait, c’est d'abord que l’on fait à l’hôpital Ste-Justine des avortements de 3e trimestre, alors que dans les médias, on affirme que cela ne se fait pas au Québec et que tous les avortements de dernier trimestre sont référés aux États-Unis.
Ensuite, que oui, le fœtus peut ressentir la douleur, mais que ce ne sont pas toutes les équipes médicales qui lui donnent un anesthésiant avant de le mettre à mort. A chacun d'imaginer ce que cela veut dire d'être avorté sans anesthésiant...
Enfin que les raisons de ces avortements sont, soient eugéniques (anomalie fœtale), soient des raisons non explicitées : des situations « précises » associées à des conditions « sociales » particulières…
Des enfants en bonne santé, mais dont on a jugé qu’il valait mieux qu’ils soient morts…

 

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