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Auschwitz, d'hier à aujourd'hui

Le 27 janvier 1945 les troupes russes ont libéré les prisonniers du camp d’Auschwitz en Pologne. Pour souligner le 70e anniversaire de cette libération, la chaîne RDI de Radio-Canada a présenté un documentaire immensément bouleversant intitulé « Nuit et brouillard ». C’est inimaginable que ces événements se soient produits au XXe siècle.

On a du mal à comprendre comment les planificateurs et les exécuteurs de ces plans machiavéliques aient pu agir ainsi, pendant des années, comme si leurs cœurs étaient devenus des cœurs de pierre. Et tous ces gens qui savaient et qui agissaient comme s’ils ne savaient pas ou bien comme s’ils n’étaient pas vraiment concernés par ces cruels massacres.

Le 28 janvier 1988, suite au travail acharné du Dr Morgentaler, qui se disait rescapé du camp d’Auschwitz, la Cour suprême du Canada a légalisé le droit à l’avortement. Depuis ce triste anniversaire, près de trois millions d’enfants innocents ont été avortés au Canada. Les corps mutilés de ces enfants morts violemment dans le ventre de leurs mères ne font pas verser beaucoup de larmes au Canada, pas encore… Nos cœurs sont aussi endurcis que ceux des Allemands durant la guerre.

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La seule différence entre les corps démembrés des enfants à naître (avis aux âmes sensibles !) et ceux des victimes d’Auschwitz est la grandeur des corps. Il suffit de regarder les images d’enfants avortés pour constater les mêmes horreurs. Il y a des enfants qui ont survécu à un avortement raté mais jamais on ne fait de reportage sur ces survivants dont les cas sont pourtant bien documentés. Certains sont nés amputés d’un bras (Ana Rosa Rodriguez, New-York 1991) ou d’une jambe (Alexandre Karl, Châlons-sur-Marnes, France 1981), d’autres ont tellement pleuré longtemps dans la poubelle où on les avait jetés (Gianna Jessen, Los Angeles 1977) qu’ils ont été rescapés miraculeusement par une personne qui a décidé de leur donner une chance de survivre en leur procurant les soins appropriés. 

À l’instar des Allemands qui demeuraient indifférents devant tous ces crimes, les Canadiens agissent de la même manière. Nous n’avons pas bâti de fours crématoires mais nous acceptons que nos impôts servent à défrayer les salles, l’équipement et le personnel qui travaille sans relâche à éliminer les êtres humains les plus vulnérables de notre société. Au Canada, près de 100 000 avortements par année sont recensés, en moyenne on tue 274 enfants innocents et vivants par jour. La solution finale… est préférée à la promotion de l’adoption.

Et comme dans les camps des Allemands, ces corps sont jetés ou brûlés comme des déchets. Certaines parties des corps de ces petits anges peuvent même servir à la recherche, fabriquer des vaccins, des produits cosmétiques et même alimentaires. Une recherche rapide sur l’internet nous informe sur tous ces sujets de honte. En 2014, les médias révélaient qu’en Grande-Bretagne, on a même utilisé les corps d’enfants avortés pour chauffer des hôpitaux !

Auschwitz, Montréal, y a-t-il vraiment une différence ? Aucune, pour 23% des enfants à naître.*

* Au Canada il y a près de 30 avortements pour 100 naissances.



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