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Aucune entrevue avec des psychologues utilisant la thérapie réparatrice pour un dossier sur le sujet dans La Presse!

Des préjugés? Incroyable. Le Journal La Presse a monté un dossier sur la thérapie réparatrice et n'a interviewé aucun des psychologues utilisant cette thérapie. De plus, elle omet de mentionner dans ses articles que s'il y a bien eu interdiction en Californie de ce type de soins, la cause ira en appel. Sur le site du Journal La Presse du 18 décembre 2012:

Y a-t-il une explication biologique à l'homosexualité? Aujourd'hui encore, les experts sont divisés sur la question.

Quelle que soit la réponse, le groupe Ta Vie Ton Choix (TVTC) croit qu'il est possible de faire s'épanouir le potentiel hétérosexuel d'un individu. Plus de 20 études ont été menées depuis 40 ans, clame la direction de l'organisme.

 La plus célèbre de ces études a été publiée en 2003 dans la revue scientifique Archives of Sexual Behavior. L'Américain Dr Robert L. Spitzer a interviewé 143 hommes et 57 femmes qui avaient déjà eu des comportements homosexuels. Du lot, 19% ont déclaré un changement «complet», sans aucun désir ou fantasme persistant pour les personnes de même sexe, et 60% ont affirmé avoir rarement des pensées homosexuelles au cours de relations hétérosexuelles.

 Le président de Gai Écoute, lui, estime qu'aucune des études n'est fiable. «Michel Lizotte cite des études américaines, mais sur l'internet, on trouve n'importe quoi», tonne Laurent McCutcheon, qui a rencontré M. Lizotte à plusieurs reprises.

 Lorsqu'on parle d'homosexualité, ce qui est certain, c'est que des facteurs biologiques sont en jeu, estime le Dr Richard Montoro, de la Clinique d'orientation sexuelle de l'Université McGill: «Dans la nature, il y a toutes sortes de diversité. On n'est pas ou bien blond ou bien brun, et il y a toutes sortes de couleurs pour les cheveux, les yeux, etc.»

 La question de savoir si l'homosexualité est une maladie mentale s'est posée pendant de nombreuses années, mais cette théorie est aujourd'hui rejetée, notamment par l'Organisation mondiale de la santé et le Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM-IV). La Société canadienne de psychologie et son équivalent américain ont maintes fois exprimé leur opposition aux thérapies dites réparatrices.

 «La recherche démontre d'ailleurs que les interventions pour changer l'orientation sexuelle ont un impact négatif, ajoute M. Montoro. Les personnes ont des taux de dépression et d'anxiété plus élevés qu'avant le début du traitement.»
(...)

Le président de Gai écoute juge que les études américaines sont des documents sans valeur pris sur internet, alors qu'elles ont paru dans des revues scientifiques reconnues. Quelles sont les compétences de M. McCutcheon, à part celle de dire n'importe quoi?

«Lorsqu'on parle d'homosexualité, ce qui est certain, c'est que des facteurs biologiques sont en jeu, estime le Dr Richard Montoro.» Génial, on a enfin trouver un gène ou un élément qui prouve que l'homosexualité est d'origine biologique ou génétique. Le Dr Montoro peut-il montrer cette preuve pour qu'enfin les discussions cessent sur les origines de l'homosexualité? Cet élément lui apportera certainement un prix nobel de médecine. À moins que cette preuve n'existe pas et qu'il affirme ici également, n'importe quoi...

Il est facile également de dire que "la recherche" a démontré, sans citer aucune source ni étude sur le sujet, et en ne tenant aucunement compte qu'il existe une multitude de thérapies réparatrices, des moins sérieuses à celles menées par des associations de psychologues. Vous pouvez visitez le site de NARTH (National Association for Research and Therapy of Homosexuality) pour constater la rigueur et le professionalisme de cet institut, et les affirmations totalement opposées à celle du Dr Montoro. Vous pouvez également écouter les nombreux témoignages de personnes homosexuelles ayant apprécié l'apport de la thérapie réparatrice dans leur passage de tendances homosexuelles vers l'hétérosexualité, sur le site tavietonchoix.org

Enfin, il est bon de rappeler que le retrait de l'homosexualité du DSM-IV s'est fait pour des raisons politiques et non scientifiques. Comme le rappelait Joseph Berger, membre de l'association des psychologues américains : « L'objectif poursuivi était non pas de rendre une décision scientifique définitive sur l'homosexualité, mais de créer un climat propice à réduire l'intolérance et la stigmatisation à l'endroit des personnes homosexuelles. Malheureusement, comme cela arrive souvent, ce qui a été décidé par une génération afin d'améliorer le climat social, a été interprété par la suivante comme une conclusion scientifique solidement étayée. » (Tiré de l'article : The APA Vote On Same-Sex Marriage : The Inside Story, http://www.narth.com/docs/apavote.html)

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