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Analyse de l'étude fautive de Pierre Fortin, Luc Godbout, et Suzanne St-Cerny sur les supposés bénéfices des CPE

Sur le site du Journal de Montréal du 3 juin 2014 :

(Saviez-vous qu'une gardienne dans une cpe ne peut recevoir de subvention pour garder son propre enfant? Elle devra le placer dans une autre garderie pour pouvoir bénéficier de l'aide gouvernementale...)

(Photo : Ville de Feyzin sur flickr.com, licence creative commons)

Une nouvelle est sortie hier affirmant que le Président du Conseil du Trésor, Martin Coiteux, ne croyait pas aux bénéfices économiques des centres de la petite enfance(CPE). Depuis plusieurs années, il y a un discours qui domine au Québec quant aux centres de la petite enfance. Selon les tenants de ce discours, en permettant le retour au travail d’un nombre important de femmes, le programme des CPE s’est autofinancé et a créé d’importantes retombées économiques. La principale étude en faveur de ce point de vue est celle de Pierre Fortin, Luc Godbout et Suzanne St-Cerny (dorénavant FGSC) qui essaie de documenter les bénéfices budgétaires et économiques du programme. Leur chiffre magique : un gain économique 5 milliards de dollars. Lorsque Martin Coiteux affirme qu’il ne croit pas aux bénéfices économiques des CPE, il affirme véritablement qu’il ne croit pas à l’étude de FGSC. Et il a raison! La réalité c’est qu’il y a eu des bénéfices en termes de la participation accrue des femmes, mais il n’est pas clair du tout qu’au net il y ait eu un bénéfice pour le Québec. (...)

À lire en entier!

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