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Adult Entertainment Association of Canada: prêt à recruter des effeuilleuses dans les écoles secondaires

Sur le site du journal Le Devoir du 6 août 2012, cette lettre d'une députée dénonçant une organisation dont les dirigeants devraient séjourner dans une cellule:

(Joy P. Smith s'implique contre le "sex trafficking")

Libre opinion - Exploitation sexuelle des jeunes filles : la guerre est déclarée

Joy P. Smith - Députée conservatrice fédérale de Kildonan-St. Paul 6 août 2012

Ce texte se veut une réponse à M. Tim Lambrinos, directeur général de l’Adult Entertainment Association of Canada, qui a récemment annoncé la première étape d’une stratégie de recrutement d’élèves et d’étudiantes dans les établissements d’enseignement du pays, dont des écoles secondaires, si le gouvernement fédéral ne permet pas aux tenanciers de cabarets de continuer à faire venir au Canada des effeuilleuses à l’aide de visas temporaires.

La guerre contre les trafiquants de personnes qui s’attaquent à nos jeunes est ouvertement déclarée. Ceux qui profitent des jeunes Canadiennes qu’ils recrutent pour le commerce sexuel ont été démasqués dans les journaux, ainsi que leur stratégie consistant à cibler de jeunes Canadiennes du secondaire parce qu’ils ne peuvent plus faire venir de jeunes femmes de l’étranger pour les exploiter sexuellement.

Il n’est pas étonnant que l’Adult Entertainment Association of Canada (AEAC) soit dérangée par les initiatives récentes visant à éliminer une échappatoire aux lois sur la traite de personnes au Canada. Les propriétaires de clubs de striptease voient une source de revenus disparaître et ils sont en colère. Mais les enseignants et les parents sont furieux eux aussi de voir l’AEAC cibler leurs jeunes pour les exploiter sexuellement.

Tim Lambrinos, directeur général de l’AEAC, prétend représenter 38 000 effeuilleuses, dont 28 % d’étudiantes. Il affirme que son rôle consiste à aider des jeunes à payer leurs études universitaires, mais en réalité, il est le porte-parole d’une industrie qui gagne des millions en attirant des étudiantes dans l’industrie du divertissement sexuel pour adultes.
 

Un grand nombre de ces victimes sont terrifiées à l’idée de parler de leur réalité et elles sont pratiquement bâillonnées par le coaching, la manipulation et les sévices. Elles sont formées pour accepter la violence à leur endroit et ne pas attirer l’attention de la police sur les clubs. Demandez-le à Natasha Falle, Timea Nagy ou aux centaines d’autres victimes qui sont tombées dans le piège de l’esclavage moderne. Elles raconteront la vérité.(...cliquez ici pour voir les témoignages)

Les Canadiens et les Canadiennes doivent envoyer un message clair aux souteneurs et aux propriétaires de clubs et d’agences de rencontres : nos enfants ne seront ni achetés ni vendus.
 

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