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« (...) un ressort essentiel de l’ensemble du projet de Charte, à savoir une vision profondément négative de la religion (...) »

Le dernier numéro de Pastorale Québec donne la parole au théologien Robert Mager qui analyse la Charte des Valeurs de Pauline Marois. Sur le site de nouvelleacpc.blogspot.ca du 29 novembre 2013  :

(Bernard Drainville veut protéger les enfants de la religion...)

(Photo : Mariannlï sur wikimedia.org, licence Creative Commons)

 

(...) «Lors de son point de presse initial sur le projet de Charte des valeurs québécoises, le ministre Bernard Drainville expliquait la décision d’étendre l’interdiction du port de signes religieux ostentatoires à tout le monde scolaire et aux garderies. Il eut alors ces mots: «[On] a décidé de protéger les enfants [...]. [On] ne souhaite pas que les enfants soient exposés à quelque influence religieuse que ce soit.»

«Le jupon dépasse», tranche le théologien. «Cette simple remarque du ministre fait apparaître un ressort essentiel de l’ensemble du projet de Charte, à savoir une vision profondément négative de la religion, de toute religion, de l’expérience religieuse elle-même et des institutions qui les incarnent. (...)

Ce qui est le contraire de la laïcité, neutralité religieuse de l'État.

Partout où l'État le pourra, on « protégera » les enfants de tout, sauf du laïcisme intolérant et borné, incapable de respecter ce qu'il ne comprend pas... 

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