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« Nous allons devoir nous pencher sur le cas des adultes inaptes comme ceux atteints d’Alzheimer et aussi pour les mineurs. »

Nous avons reçu cette lettre très importante, à communiquer à votre député. On y trouve l'aveu par le Dr Yves Robert, secrétaire du Collège des Médecins du Québec,  du plan de match de son organisation qui est à l'origine de l'ourverture politique à l'euthanasie au Québec.  : 

Cher député libéral (québécois),

LE COLLÈGE ANNONCE QU’IL EST APRÈS LES ENFANTS

Le projet de loi 52 sur l’euthanasie n’a pu passer au vote final avant la relâche. S’il y a déclenchement d’élections, il mourra au feuilleton. Autrement, il peut faire l’objet d’un vote au retour. Vingt-trois des quarante-neuf députés libéraux (47 %) ont annoncé qu’ils voteront contre, en plus d’un député caquiste et un autre indépendant. Les députés PQ (44 % de la Chambre) affirment qu’ils voteront tous en faveur. Ainsi, parmi ceux qui ont l’apparence de pouvoir voter librement, presque la moitié est contre. Plusieurs disent qu’ils voteront en faveur parce qu’ils se sentent rassurés par les restrictions prévues. Or, le 14 février, Le National Post rapportait les propos suivants de M. Yves Robert, secrétaire du Collège des médecins du Québec : « Ce projet de loi n’est certainement pas la fin de la réflexion. Tel qu’il est, ce n’est qu’une étape. Au fur et à mesure que les Québécois deviendront accoutumés aux injections létales administrées par des médecins, la question ne sera plus qui reçoit l’euthanasie, mais plutôt à qui l’accès à l’euthanasie est nié. Nous allons devoir nous pencher sur le cas des adultes inaptes comme ceux atteints d’Alzheimer et aussi pour les mineurs. ». Or, le Collège des médecins est l’instigateur de la demande d’euthanasie au Québec et a toute l’oreille du gouvernement actuel, qui répète constamment que le projet de loi le protègera de toute poursuite éventuelle de la part de la population. Le chat est sorti du sac : ceux qui sont à l’origine même du projet de loi nous annoncent à l’avance qu’ils projettent de tout faire pour qu’une telle loi devienne un rouleau-compresseur de l’État à l’endroit de ses citoyens les plus faibles et sans défense, et ce, avec l’assurance du gouvernement (actuel) qu’une telle loi les rendra intouchables. Pouvons-nous imaginer pire cocktail meurtrier ? Le 21 février, de façon tout à fait inattendue et spectaculaire, le vote concernant l’euthanasie au Québec a bénéficié d’un sursis. Mais les députés devront un jour effectivement se prononcer clairement. Serons-ils assez sages pour voir et entendre les signes, les drapeaux rouges, qui leur sont servis sur un plateau d’argent ? Ils ne pourront pas dire, après, qu’ils n’ont pas été avertis très clairement de ce qui s’en vient. Ils ne pourront pas dire qu’ils ont voté « en toute bonne foi ». On ne pourra plaider l’innocence ou l’ignorance. Qui votera en faveur de ce qui s’en vient s’en rendra complice en toute connaissance de cause.

Isabelle et Ward O’Connor
Montcerf-Lytton (Québec) Canada
 

À lire, l'excellent article du National Post du 13 février 2014, cliquez ici.  Il est clair que le projet de loi 52 n'est que la première étape pour faire accepter le principe de l'euthanasie. Puis, les balises déjà sans valeur tomberont. Et nous rejoindrons la Belgique qui permet l'euthanasie à tous âges, et la Hollande qui euthanasie des malades mentaux.

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